NOUS SOMMES EN PLEINE BATAILLE: LE BIEN CONTRE LES PUISSANCES DU MAL !
( Message à MYRIAM et MARIE )
JE SUIS VOTRE DIEU D’AMOUR QUI VOUS AIME !
Mes tout petits enfants ,
JE SUIS votre Père du CIEL : « DIEU TOUT PUISSANT » !
Nous sommes Mes enfants en pleine bataille : Une très grande bataille : Le bien contre les puissances du mal : « Mon armée Céleste contre l’armée de satan » !
Beaucoup de ceux qui se disent grands de ce monde vont disparaître ..
Mes enfants, AUSSI : « NE PERDEZ PAS COURAGE » !
La victoire , la victoire de votre DIEU sur le mal est très, très, très proche !
N’ayez pas peur : « FAITES-MOI CONFIANCE » et, Restez toujours unis à votre DIEU d’Amour dans la prière car : Tout se déroulera selon Ma volonté …
Soyez dans la JOIE Mes enfants , Soyez dans la JOIE : « Votre délivrance est proche » , très, très proche et, : Croyez à tout ce que JE vous ai dit jusqu’à ce jour…
JE vous redis encore Mes Bien-aimés : « Ne vous inquiétez pas du devenir de vos enfants et, petits enfants : Ils sont sous Ma protection : La protection du TOUT PUISSANT QUI EST DIEU : « MAÎTRE DE TOUT » !
Soyez forts et, résistez à tout ce qui ne vient pas de MOI !
Ne soyez pas des moutons qu’on mène à l’abattoir !
Proclamez haut et fort que DIEU Vient libérer Son peuple !
AMEN, AMEN, AMEN,
Les bras tendus vers vous Mes enfants, JE vous donne Ma très Sainte Bénédiction avec celle de Ma Douce, Ma Tendre, Ma Pure Maman : « La Bienheureuse VIERGE MARIE : La DIVINE IMMACULÉE CONCEPTION » et, Son époux Saint JOSEPH :
AU NOM DU PÈRE,
AU NOM DU FILS,
AU NOM DU SAINT ESPRIT ,
AMEN, AMEN, AMEN,
ALLÉLUIA, ALLÉLUIA, ALLÉLUIA,
JE vous donne Ma PAIX Mes enfants et, gardez LA bien dans vos cœurs .
A très, très, très bientôt Mes Bien-Aimés, à très, très, très bientôt !
JE SUIS L’Amour , l’Amour qui vous aime !
JE SUIS votre Jésus : « ROI D’AMOUR qui Vient vous libérer !
Commission secrète : François prépare-t-il sa prochaine attaque contre l’Église ?
François veut « étudier » la communion pour les protestants, écrit MarcoTossatti.com (4 août).
Or, les protestants ne remplissent pas les deux conditions préalables pour recevoir la communion, à savoir se confesser et croire à la transsubstantiation.
Les rumeurs disent que François a chargé le Secrétaire de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, l’archevêque Vittorio Francesco Viola, un ancien conférencier de l’Institut liturgique anticatholique de Sant’Anselmo, à Rome, d’organiser une « commission confidentielle » en septembre, et de faire rapport directement à François dans un délai de deux mois seulement.
Au mépris de toute prétendue » synodalité « , cette méthode qu’affectionne François court-circuite les cardinaux, les évêques, et toutes les instances chargées de traiter des questions spécifiques.
« En Allemagne, certains évêques ont déjà fait des bonds en avant dans ce domaine par le passé », écrit Tossatti. En réalité, la communion protestante a été imposée de facto à tous les diocèses allemands depuis plus de quarante ans, au su de Rome, au point qu’un prêtre refusant de participer à cet abus serait licencié.
SOYEZ CONSCIENTS DE CETTE RÉALITÉ, SOYEZ AVERTIS, et, NE VOUS LAISSEZ PAS TROMPER !
( Un Enseignement de Jésus donné à Soeur BEGHE le Vendredi 30 octobre 2020 )
Quelle messe ?
La religion catholique, la plus belle religion parce que la seule vraie et Une, est en train de se faire tuer mais elle ne périra pas.
Mes enfants, soyez conscients de cette réalité, soyez avertis et ne vous laissez pas tromper. Vous êtes trompés par la nouvelle messe, celle qui a été instituée il y a cinquante ans et qui a fait perdre la vraie foi à Mes fidèles. Mes fidèles ont cru qu’ils devaient obéir à la Hiérarchie qui leur imposait une messe dite nouvelle mais en réalité celle-ci était mauvaise et inefficace.
La sainte messe catholique est celle qui a été célébrée depuis la dernière Cène de Jésus-Christ jusqu’à cette date fatidique de 1969, lorsqu’un pape, sans raison, l’a abandonnée, l’a révoquée, l’a interdite. Il a mis en place une nouvelle forme de liturgie qui n’avait jamais existée, elle était inventée et tenait quelques éléments de la sainte messe catholique, qui, elle, devenait interdite.
Quand un pape décide une nouveauté, qui ne trouve pas sa source dans la continuité de l’enseignement de Jésus-Christ, il n’est pas licite de lui obéir. L’obéissance est due à ce que Jésus-Christ a laissé à Ses apôtres et, après eux, à toute la hiérarchie de la sainte Eglise catholique, qui promeut, qui explique et qui enseigne cet enseignement mais aucun autre.
La sainte messe catholique de tous les temps a été décrétée sainte par le pape saint Pie V et, depuis, nul n’est en droit de la changer, de la supprimer, de l’interdire. Ce sont ses propres mots, repris dans la Bulle « Quo Primum Tempore », promulguée le 14 juillet 1570, et qui stipule :
« Par notre présente constitution, qui est valable à perpétuité, Nous avons décidé et Nous ordonnons, sous peine de notre malédiction, que jamais rien ne soit ajouté, retranché ou modifié au Missel que Nous venons d’éditer (…) Et même, par les dispositions des présentes et au nom de notre Autorité apostolique, nous concédons et accordons que ce même Missel pourra être suivi en totalité dans la messe chantée ou lue, dans quelque église que ce soit, sans aucun scrupule de conscience et sans encourir aucune punition, condamnation ou censure, et qu’on pourra valablement l’utiliser librement et licitement, et cela à perpétuité (…) Aucun prêtre ni aucun religieux ne peut être tenu de célébrer la Messe autrement que nous l’avons fixé, et que jamais et en aucun temps qui que ce soit ne pourra les contraindre et les forcer à laisser ce Missel ou à abroger la présente instruction ou la modifier, mais qu’elle demeurera toujours en vigueur et valide, dans toute sa force (…) »
Cette bulle a été déclarée nulle, dans les faits, par le pape Paul VI, puisqu’il a promulgué une autre liturgie et dit qu’elle remplaçait la sainte messe de tous les temps. Il n’a pas rempli des formes juridiques pour abroger la sainte messe, il a simplement déclaré qu’elle était abrogée et qu’elle devenait interdite. C’est pourquoi, le pape Benoît XVI a publié le 7 juillet 2007 le Motu Proprio Summorum Pontificum, qui abolit l’interdiction de la sainte messe et la libère.
La nouvelle messe est demeurée dans les habitudes du clergé et ils sont encore nombreux à la considérer comme la seule à avoir droit de cité. La sainte messe est néanmoins la seule messe catholique, elle est le Saint Sacrifice de Jésus-Christ renouvelé dans le temps et jusqu’à la fin des siècles.
La messe moderne, dès lors qu’elle a été acceptée par la Sainte Eglise, est acceptée de Dieu, mais elle n’offre pas la même garantie de perfection que la sainte messe. Elle est souvent bâclée, dite par des prêtres qui, malheureusement, ne croient plus à ce qu’ils font et, dès lors, elle donne peu ou pas de fruit aux fidèles qui y assistent. Les prêtres qui croient en la transsubstantiation offrent le Saint Sacrifice, ceux qui n’y croient plus ne sont pas des prêtres ‘agissant’. C’est ainsi que cette messe moderne est inférieure à la messe catholique de toujours, parce que cette dernière porte en elle la Rédemption.
Les messages de TREVIGNANO sont reconnus par l’évêque du lieu )
Chers enfants, merci d’être ici en prière et d’écouter mon appel dans vos cœurs. Mes enfants bien-aimés, je vous demande d’être prêts car l’avertissement est très proche. Beaucoup reviendront à Dieu, même ceux qui ne croient pas, surtout les prêtres qui ne croient pas tout ce que vous vivez en ce moment. Certains trouveront quelque chose pour déformer ce qui aura été vu (de l’avertissement) et ne voudront pas admettre que Dieu peut tout faire, et à ce moment-là ils auront choisi.
Moi, Mère de Dieu et votre Mère, je veux vous garder pour les temps terribles qui viendront. Je veux vous faire remarquer que bientôt il y aura des guerres dans le monde, mais ce sera le moment où l’Antéchrist viendra et se présentera comme un homme de paix.
Attention les enfants, ne laissez pas vos esprits se tromper, mais soyez fidèles même lorsque le catholicisme devient paganisme et protestantisme.
Soyez toujours avec l’Évangile et le Rosaire dans vos mains et ne vous laissez pas distraire. Mes enfants, je veux vous sauver tous et je vous demande de témoigner.
Je vous laisse maintenant avec ma bénédiction maternelle au nom de la Très Sainte Trinité. Priez pour l’humanité perdue et je prierai avec vous. La Madone dit qu’aujourd’hui des grâces descendront parmi vous.
( Vénération de la Pachamama dans la basilique St PIERRE lors du synode d’octobre 2019 )
VOUS VOICI PRÉVENUS, JE VOUS METS EN GARDE CONTRE TOUTES APPROBATIONS DE CES ABOMINATIONS, CEUX QUI AURAIENT DÛ LA CONDUIRE L’ONT TRAHIE ET DÉVOYÉE « LA ROME AUTREFOIS SI CATHOLIQUE PRÊCHE LA CONFUSION »,
Le fait d’avoir honoré, au Vatican même, la déesse-terre amérindienne, la Pachamama, et de l’avoir mise sur les autels est bien le fait de la « femme prostituée », la Rome qui aurait dû être catholique mais qui renie Celui qu’elle avait autrefois adoré : Dieu.
( Un Enseignement donné à Sœur BEGHE Mardi 3 août 2021 )
La Prostituée fameuse (II)
Je suis le Tout Puissant et Mon Règne vient. Il est sur le point d’arriver et Je protégerai les Miens, ceux qui se confieront en Moi pendant le temps préparatoire à cette merveilleuse transformation.
Mon Âme est triste à en mourir parce que J’assiste à la dilapidation de Mon Épouse sur la terre, la Sainte Église catholique et romaine. Ses représentants se distancient de Ma doctrine, de Mes Paroles, de Mes enseignements.
La Rome autrefois si catholique prêche la confusion et se démarque de ce qu’elle fut naguère ; la très digne, la très respectée, la très lumineuse ville de Mes prédilections est devenue en l’espace de quelques années, depuis ce concile supposé régénérer la foi, la prostituée dont parle Mon évangéliste Jean dans son livre « L’Apocalypse » en son chapitre 17 : Sur son front, un nom était inscrit – un mystère ! – « Babylone la Grande, mère des répugnantes prostituées de la terre » (Ap 17, 5).
Ce mystère est le suivant : comment la femme « revêtue de pourpre et d’écarlate, étincelait d’or, de pierreries et de perles » tient-elle « à la main une coupe d’or, remplie des répugnantes impuretés de sa prostitution » (Ap 17, 4) ? C’est le mystère d’iniquité.
Comment la Sainte Mère l’Eglise s’est-elle prostituée avec les religions fausses ou hérétiques, avec Asmodée le démon de l’immoralité, avec Mammon le démon de l’avarice et des nombreux scandales financiers du Vatican.
« La femme étincelait d’or, de pierreries et de perles » : elle a la fortune de ce qui était autrefois sa richesse : la foi, la doctrine, la préséance et le rayonnement. Elle en a gardé les trésors matériels, elle occupe actuellement les lieux qui étaient ceux de sa grandeur et de son rayonnement mais la nourriture qu’elle répand sont « les répugnantes impuretés de sa prostitution ».
La Sainte Eglise catholique et romaine tient encore son rang physique et matériel, elle occupe toujours les lieux de sa grandeur passée, elle dispose des lieux de son apostolat, mais celui-ci est entaché d’irréligion et de profanations.
Le fait d’avoir honoré, au Vatican même, la déesse-terre amérindienne, la Pachamama, et de l’avoir mise sur les autels est bien le fait de la « femme prostituée », la Rome qui aurait dû être catholique mais qui renie Celui qu’elle avait autrefois adoré : Dieu.
Je vous ai communiqué plusieurs écrits au sujet de la gravité de l’apostasie romaine, de la part de celui qui aurait dû agir en tant que Mon Vicaire et non en tant qu’incroyant et révolutionnaire.
Je vous ai averti de la gravité de cette apostasie, de la gravité de cette chute des représentants de Ma Sainte Eglise et Je vous mets en garde, Mes enfants, contre toute approbation de ces abominations.
Moi, votre Seigneur Dieu, Je vous veux avertis, Je vous veux lucides, Je vous veux réfléchis et non des obéissants qui suivent l’erreur sans réfléchir. C’est Moi, votre Maître et votre Dieu, que vous devez choisir, non les représentants coupables et dédaigneux de Ma Légitimité, de Ma Rédemption, de Mon Enseignement.
Viendra un temps, et ce temps est maintenant, où ceux qui auraient dû montrer l’exemple trahiront, comme Judas Iscariote, Mon disciple et Mon apôtre, M’a trahi et livré. Ce qui s’est passé à Mon égard se reproduit pour Mon Epouse, la Sainte Eglise catholique et romaine. Ceux qui auraient dû la conduire, l’ont trahie et dévoyée. Et parce qu’elle aura été dévoyée, elle disparaîtra le temps de sa mort apparente, en attendant l’heure de sa résurrection car les portes de l’enfer ne prévaudront pas.
Vous voici prévenus.
Priez, Mes enfants, en ces heures de ténèbres, priez parce que vous connaissez Mes Paroles, Mes Promesses : Je suis le seul Chemin ; la seule et unique Vérité ; l’unique Vie, source de toute vie.
Venez à Moi, dans les églises où la foi est vive, où les prêtres enseignent la vérité, où les fidèles sont recueillis et fermes en leur fidélité. Je suis auprès de vous, auprès d’eux tandis que J’ai déserté les lieux où la vérité n’a pas sa place, où l’immoralité a inondé les cœurs et où la superficialité et l’orgueil se sont implantés.
Lisez l’Apocalypse, ce livre vous éclairera sur votre temps, sur les événements qui s’accomplissent sous vos yeux mais que vous ne percevez pas. Et pourtant, tout est là, tout arrive, tout est en place et vous êtes aveuglés.
Par la prière fervente, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme au temps de Moïse et de Pharaon, les uns prêts à partir, les reins ceints, et les autres ne voyant rien, ne comprenant rien, ne sachant rien.
Méditez la belle prière du Notre Père et répétez sans cesse « que Votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel ». Oui, Ma volonté est celle de votre Père éternel et elle a décidé que ce temps, votre temps, est celui de la Passion de votre Mère la Sainte Eglise. Ce qu’il adviendra est dans la volonté de votre Père céleste, soyez donc confiants, priant et tout abandonnés à cette Volonté toute puissante et très prévenante quoiqu’il arrive.
Je vous bénis, Je vous aime, Je vous protège et Je vous précède. Ma très sainte Mère, qui est votre Mère, est elle aussi auprès de vous, elle vous donne son amour et sa protection. Qu’il en soit ainsi.
Ce qui se passe avec la destruction de Mon Église Catholique, en reniant la source de la messe de toujours… qui passe par l’autorité de Rome et des évêques, Je vous le dis : ne passe pas… dans Mon cœur de Père!
«MARANATHA!» Qui a compris? Qui comprendra?
Message du lundi 26 juillet 2021, 16h:50
Mes enfants, tenez-bon dans les bouleversements familiaux et sociaux que vous vivez malgré-vous à cause des évènements provoqués, de toutes pièces, par un groupe d’élus qui n’est pas en union d’amour avec votre Dieu. Ce groupe maudit de Satan, Je vais l’anéantir sous Mes pieds!
Il se croit supérieur à votre Dieu, mais il n’est rien par rapport à Ma puissance qu’il vivra et verra avec toute ma colère qui se déchaînera avec fracas! Je fais justice présentement dans le monde, c’est commencé Mes bons enfants qui rêvez d’amour, de paix, de joie sur Ma terre bénite.
Regardez-bien où Je vais frapper par Ma colère et associez les évènements de Ma colère juste et équitable avec les graves décisions dont certains prennent, sans Mon consentement, afin de détruire Mon Église et les âmes qui M’appartiennent.
Satan mérite sur ma terre Ma justice par Ma grande colère. J’ai créé la terre avec amour ainsi que l’humain à Ma ressemblance, Je renouvelle tout maintenant, mais il y aura des cris et des larmes versées en multitudes afin de tout purifier.
Je traiterai les traîtres de votre temps aussi durement qu’ils vous maltraitent! Ils n’auront pas la vie plus longue que ceux qu’ils veulent éliminer par toutes leurs stratagèmes diaboliques sans amour, sans limite à leurs yeux.
Dieu est Dieu!
Ils sauront et verront… qui Je suis!
Le seul qui a tout pouvoir sur la terre et aux cieux!
Leur pouvoir, Je vais l’abattre comme le moissonneur qui récolte son dû en séparant le blé de l’ivraie!
Le temps est venu de Mon agir!
Mes petits qui verrez tout ce que Je ferai, Je vous dis : soyez forts et confiants par la prière continuellement renouvelée en vous!
Comme on dit : on vous en fera baver tout un coup de misères, mais leur folie prendra fin à Mon heure!
Priez afin que cesse la folie mondiale du gouvernement mondial en marche! Maranatha, vous ne le direz jamais trop, jamais assez!
«Maranatha», le slogan des chrétiens au lieu de «liberté»
Seul votre Dieu va vous libérer de tous ces traîtres. Priez aussi fort que Sainte-Jeanne-D’arc, aussi fort que tous les saints du ciel en union avec eux!
Maranatha! Maranatha! Maranatha! Maranatha! Maranatha! Maranatha! Maranatha, viens Seigneur Jésus!
Ce qui se passe avec les « pass-sanitaire », ne passera pas sous silence devant Dieu, votre Très-Haut!
Ce qui se passe avec la destruction de Mon Église Catholique, en reniant la source de la messe de toujours… qui passe par l’autorité de Rome et des évêques, Je vous le dis : ne passe pas… dans Mon cœur de Père!
Ma peine est devenue colère, colère et colère contre Mon peuple plus impie, qu’amour… envers leur Créateur et Mon Fils Jésus!
Satan déteste le latin, comprenez-vous?
Donc, il déteste la messe Tridentine, messe que Je préfère en tant que Père du ciel sur la terre des vivants. Satan, déteste toute forme de messe en Église! Il déteste Mes prêtres et Mes âmes saintes sur la terre! Il déteste l’être humain! Sa haine est au plus fort contre Dieu et Mes âmes saintes et pieuses! Mais qui est comme Dieu?
Je vaquerai contre lui, le serpent maudit!
Ce n’est qu’une question de temps, d’un très court temps maintenant pour lui.
Et ce qui se passe dans les coulisses partout à Rome et par l’ordre mondial, Dieu en est le premier témoin afin de déjouer leurs plans sataniques…mais pour ramener des âmes à Moi,
Je permets que Mes enfants, dans leur liberté, crient vers Moi leur détresse, contre eux, les méchants durant la bataille finale entre Dieu et Satan sur la terre.
Ce qui se passe…ne passera plus…
Mon agir EST de l’est à l’ouest, du nord au sud sur tous les continents.
Vous verrez que ce qui se passe provoqué par Dieu, n’est nul autre… que Ma justice qui se réalise et réalisera sous vos yeux stupéfaits!
Enfants de mon Royaume, petit reste de fidèles, vraiment fidèles à votre Dieu, prenez courage car Je viens! Je viens! Je viens!
Aidez-vous et aimez-vous les uns les autres.
N’acceptez jamais des piqûres qui contiennent un poison terrible pour vous enlever votre vie et réduire votre durée de vie, car seul votre Dieu est le maître de votre vie et non pas un groupe d’individus rusés et traîtres jusqu’à la lie par leur agir!
Demeurez avec Moi, auprès de Moi et de Mon Fils Jésus. Nous sommes la véritable protection contre tous les dangers.
C’est en nous seul que doit reposer votre confiance et non en un groupe d’individus qui se croit plus fort que tout et surtout de Dieu! Mes enfants, Je vous bénis, demeurez dans la paix et la joie du retour de Mon Fils qui vient!
«Maranatha»! Qui a compris?
Qui comprendra?
Qui acceptera la vérité de Mon «Maranatha, site officiel de votre Dieu?
Revenez à Moi, seul, le seul Dieu que vous aurez pour l’éternité!
Paix! Paix! Paix, Mes enfants de la terre!
Votre Dieu, trois fois saint a parlé à son peuple!
CE QUE LE FAUX PROPHETE ET LES IMPOSTEURS QUI IDOLÂTRENT SATAN ESSAIENT DE FAIRE !
ILS VEULENT RENVERSER L’ÉGLISE CATHOLIQUE ET LA BRISER EN PETITS MORCEAUX ! JE NE VAIS PAS RESTER A L’ÉCART ET REGARDER MON ÉGLISE SE DÉSINTÉGRER !
Ma fille, Je parle à tous les enfants de Dieu et Je vous assure que Moi, votre Jésus bien-aimé, ne pourrais jamais porter atteinte à Ma propre Église. Cependant, Je ne vais pas rester à l’écart et regarder Mon Église se désintégrer aux mains d’une secte particulière qui n’a aucun droit à jouer un rôle dans le Saint Siège.
Car c’est précisément ce que le faux prophète et les imposteurs qui idolâtrent Satan essaient de faire. Ils veulent renverser l’Église Catholique et la briser en petits morceaux.
C’est comme cela, Mes enfants, que Satan se dressera dans sa lutte finale contre Dieu, le Créateur de toutes choses. Ce plan infernal pour détruire Mon Église est en œuvre depuis 100 ans, mais ! il s’est intensifié depuis 1967.
Un grand nombre d’imposteurs, membres de cette secte diabolique, qui honorent Satan, sont entrés dans les séminaires pour avoir pied au Vatican. Leurs pouvoirs, tout en étant permis par Dieu le Père, étaient limités jusqu’à maintenant. Comme la Fin des Temps se rapproche, cela va changer.
Cette secte diabolique va maintenant déchaîner toute sa puissance afin d’élire un nouveau remplaçant à Mon Saint Vicaire, le Pape Benoît XVI.
Tous ceux qui connaissent Mes Enseignements verront les changements dans la récitation de la Sainte Messe.
De nouvelles lois laïques seront introduites qui seront un affront à Ma Mort sur la Croix. Beaucoup de Mes fidèles dévots verront cela et se sentiront blessés.
Leurs opinions seront écartées et de nombreux Sacrements cesseront d’être offerts. C’est pourquoi une grande préparation est nécessaire.
Aux Catholiques qui seront blessés et consternés, souvenez-vous que Je Suis là.
Faites appel à Moi, votre Jésus bien-aimé, et sachez que vous ne devez pas avoir peur de proclamer la Vérité de Mes Enseignements.
N’ayez pas peur de tourner le dos à l’hérésie.
Je vous conduirai et vous protègerai tout le long du chemin, et vous serez guidés par la puissance du Saint-Esprit. Votre Sauveur bien-aimé Jésus-christ !
( Message donné à M.D.M…. le Lundi 16 avril 2012 à 18h00 ) ( 11 mois avant l’arrivée du P.. François )
SON RÔLE DE PAPE » DÉMOLIR LA RELIGION CATHOLIQUE » PAR DES DÉCRETS POUR ÉTABLIR LA NOUVELLE RELIGION ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL !
Il n’est pas surprenant que dans de nombreux cas, ce sont précisément les prêtres et les évêques – et Bergoglio lui-même – qui demandent que les gens soient vaccinés pour pouvoir accéder aux sacrements
( TRADUCTION: FABIENNE MARIA )
Viganò : L’Etat et l’Eglise profonds apporteront une nouvelle religion et un nouvel ordre mondial Traditionis custodes : tel est l’incipit du document par lequel François annule impérieusement le Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI.
Le ton presque moqueur de la citation grandiloquente de Lumen Gentium n’aura pas échappé à l’attention : au moment où Bergoglio reconnaît les évêques comme les gardiens de la Tradition, il leur demande de faire obstacle à son expression la plus haute et la plus sacrée, la prière.
Dico vobis quia si hii tacuerint, lapides clamabunt. Jevous dis que si ceux-ci se taisent, les pierres crieront.Lc 19, 40
Traditionis custodes : tel est l’incipit du document par lequel François annule impérieusement le précédent Motu Proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI. Le ton presque moqueur de la citation grandiloquente de Lumen Gentium n’aura pas échappé à l’attention : au moment même où Bergoglio reconnaît les évêques comme les gardiens de la Tradition, il leur demande de faire obstacle à son expression la plus haute et la plus sacrée, la prière.
Quiconque tente de trouver dans les plis du texte un escamotage pour le contourner devrait savoir que le projet envoyé à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi pour révision était extrêmement plus drastique que le texte final : une confirmation, s’il en était besoin, qu’aucune pression particulière n’a été nécessaire de la part des ennemis historiques de la liturgie tridentine – à commencer par les érudits de Sant’Anselmo – pour convaincre Sa Sainteté de s’essayer à ce qu’il fait de mieux : démolir. Ubi solitudinem faciunt, pacem appellant [1].
Le modus operandi de François :
François a une fois de plus désavoué la pieuse illusion de l’herméneutique de la continuité, en affirmant que la coexistence du Vetus et du Novus Ordo est impossible parce qu’ils sont l’expression de deux approches doctrinales et ecclésiologiques irréconciliables. D’un côté, il y a la messe apostolique, la voix de l’Église du Christ ; de l’autre, il y a la « célébration eucharistique » montinienne, la voix de l’Église conciliaire.
Et, il ne s’agit pas d’une accusation, aussi légitime soit-elle, portée par ceux qui expriment des réserves à l’égard du rite réformé et de Vatican II. Il s’agit plutôt d’un aveu, voire d’une fière affirmation d’adhésion idéologique de la part de François lui-même, chef de la faction la plus extrémiste du progressisme.
Son double rôle de: » Pape et de liquidateur de l’Église catholique » lui permet, d’une part, de ladémolir par des décrets et des actes de gouvernance et, d’autre part, d’utiliser le prestige que lui confère sa fonction pour établir et répandre la nouvelle religion sur les décombres de l’ancienne.
Peu importe que ses actes contre Dieu, contre l’Église et contre le troupeau du Seigneur soient en contradiction totale avec ses appels à la parrhesia, au dialogue, à la construction de ponts et non de murs : l’église de la miséricorde et l’hôpital de campagne s’avèrent être des artifices rhétoriques vides de sens, car ce sont les catholiques qui devraient en bénéficier et non les hérétiques ou les fornicateurs.
En réalité, chacun de nous sait bien que l’indulgence d’Amoris Laetitia envers le concubinage public et les adultères serait difficilement imaginable envers ces « rigides » contre lesquels Bergoglio lance ses fléchettes dès qu’il en a l’occasion.
Après des années de ce pontificat, nous avons tous compris que les raisons invoquées par Bergoglio pour refuser une rencontre avec un prélat, un homme politique ou un intellectuel conservateur ne s’appliquent pas au cardinal pédophile, à l’évêque hérétique, à l’homme politique avorteur ou à l’intellectuel mondialiste. En bref, il y a une différence flagrante de comportement, à partir de laquelle on peut saisir la partialité et l’esprit de parti de François en faveur de toute idéologie, pensée, projet, expression scientifique, artistique ou littéraire qui n’est pas catholique.
Tout ce qui évoque, même vaguement, quelque chose de catholique semble susciter chez le locataire de Santa Marta une aversion pour le moins déconcertante, ne serait-ce qu’en vertu du Trône sur lequel il est assis. Beaucoup ont noté cette dissociation, cette sorte de bipolarité d’un pape qui ne se comporte pas comme un pape et ne parle pas comme un pape. Le problème est que nous ne sommes pas confrontés à une sorte d’inaction de la papauté, comme cela pourrait arriver avec un Pontife malade ou très âgé ; mais plutôt à une action constante qui est organisée et planifiée dans un sens diamétralement opposé à l’essence même de la papauté.
Non seulement Bergoglio ne condamne pas les erreurs du temps présent en réaffirmant avec force la Vérité de la Foi catholique – il ne l’a jamais fait ! – mais il cherche activement à diffuser ces erreurs, à les promouvoir, à encourager leurs partisans, à les répandre au maximum et à organiser des événements pour les promouvoir au Vatican, tout en réduisant au silence ceux qui dénoncent ces mêmes erreurs.
Non seulement il ne punit pas les prélats fornicateurs, mais il les promeut et les défend même en mentant, tandis qu’il écarte les évêques conservateurs et ne cache pas son agacement devant les appels du cœur des cardinaux non alignés sur le nouveau cours.
Non seulement il ne condamne pas les politiciens avorteurs qui se proclament catholiques, mais il intervient pour empêcher la Conférence épiscopale de se prononcer sur cette question, contredisant ainsi cette voie synodale qui lui permet à l’inverse d’utiliser une minorité d’ultra-progressistes pour imposer sa volonté à la majorité des Pères synodaux.
La seule constante de cette attitude, relevée dans sa forme la plus effrontée et arrogante dans Traditionis Custodes, est la duplicité et le mensonge. Une duplicité qui est une façade, bien sûr, quotidiennement désavouée par des positions qui sont tout sauf prudentes en faveur d’un groupe très spécifique, que par souci de brièveté nous pouvons identifier à la gauche idéologique, voire à son évolution la plus récente dans une clé mondialiste, écologiste, transhumaine et LGBTQ.
Nous en sommes arrivés au point où même les gens simples, peu au fait des questions doctrinales, comprennent que nous avons un pape non-catholique, du moins au sens strict du terme. Cela pose des problèmes de nature canonique non négligeables, qu’il ne nous appartient pas de résoudre mais qu’il faudra tôt ou tard aborder.
L’extrémisme idéologique !
Un autre élément significatif de ce pontificat, porté à ses conséquences extrêmes avec Traditionis Custodes, est l’extrémisme idéologique de Bergoglio : un extrémisme que l’on déplore en paroles quand il concerne les autres, mais qui se manifeste dans son expression la plus violente et la plus impitoyable quand c’est lui-même qui le met en pratique contre le clergé et les laïcs liés au rite ancien et fidèles à la Sainte Tradition.
A l’égard de la Fraternité Saint-Pie X, il se montre prêt à faire des concessions et à établir des relations de « bon voisinage », mais à l’égard des pauvres prêtres et des fidèles qui doivent supporter mille humiliations et chantages pour mendier une messe en latin, il ne montre aucune compréhension, aucune humanité.
Ce comportement n’est pas accidentel : Le mouvement de Mgr Lefebvre jouit de sa propre autonomie et de son indépendance économique, et pour cette raison il n’a aucune raison de craindre des représailles ou des commissaires du Saint-Siège. Mais les évêques, les prêtres et les clercs incardinés dans les diocèses ou les ordres religieux savent que plane sur eux l’épée de Damoclès de la destitution, du renvoi de l’état ecclésiastique et de la privation de leurs moyens de subsistance.
L’expérience de la messe tridentine dans la vie sacerdotale :
Ceux qui ont eu l’occasion de suivre mes discours et mes déclarations savent bien quelle est ma position sur le Concile et sur le Novus Ordo ; mais ils savent aussi quelle est ma formation, mon curriculum au service du Saint-Siège et ma conscience relativement récente de l’apostasie et de la crise dans laquelle nous nous trouvons. Pour cette raison, je voudrais réitérer ma compréhension pour le cheminement spirituel de ceux qui, précisément à cause de cette situation, ne peuvent pas ou ne sont pas encore en mesure de faire un choix radical, comme celui de célébrer ou d’assister exclusivement à la Messe de Saint Pie V.
De nombreux prêtres ne découvrent les trésors de la vénérable Liturgie tridentine que lorsqu’ils la célèbrent et se laissent imprégner par elle, et il n’est pas rare qu’une curiosité initiale envers la « forme extraordinaire » – certainement fascinante en raison de la solennité du rite – se transforme rapidement en une prise de conscience de la profondeur des mots, de la clarté de la doctrine, de l’incomparable spiritualité qu’elle fait naître et nourrit dans nos âmes. Il existe une harmonie parfaite que les mots ne peuvent exprimer, que les fidèles ne peuvent comprendre qu’en partie, mais qui touche le cœur du Sacerdoce comme seul Dieu peut le faire.
Cela peut être confirmé par mes confrères qui se sont approchés de l’usus antiquior après des décennies de célébration obéissante du Novus Ordo : Un monde s’ouvre, un cosmos qui comprend la prière du Bréviaire avec les leçons de Matines et les commentaires des Pères, les renvois aux textes de la Messe, le Martyrologe à l’Heure de Prime… Ce sont des paroles sacrées – non pas parce qu’elles sont exprimées en latin – mais plutôt parce que la langue vulgaire les rabaisserait, les profanerait, comme l’a judicieusement observé Dom Guéranger.
Ce sont les paroles de l’Épouse à l’Époux divin, les paroles de l’âme qui vit en union intime avec Dieu, de l’âme qui se laisse habiter par la Très Sainte Trinité. Des paroles essentiellement sacerdotales, au sens le plus profond du terme, qui impliquent dans le sacerdoce non seulement le pouvoir d’offrir le sacrifice, mais aussi de s’unir dans l’offrande à la Victime pure, sainte et immaculée. Cela n’a rien à voir avec les divagations du rite réformé, qui cherche trop à plaire à la mentalité sécularisée pour se tourner vers la Majesté de Dieu et la Cour céleste ; il est si préoccupé de se rendre compréhensible qu’il doit renoncer à communiquer autre chose qu’une banale évidence ; si soucieux de ne pas blesser les hérétiques qu’il se permet de taire la Vérité au moment même où le Seigneur Dieu se rend présent sur l’autel ; si craintif de demander aux fidèles le moindre engagement qu’il banalise le chant sacré et toute expression artistique liée au culte.
Le simple fait que des pasteurs luthériens, des modernistes et des francs-maçons connus aient collaboré à la rédaction de ce rite devrait nous faire comprendre, sinon la mauvaise foi et la faute intentionnelle, du moins la mentalité horizontale, dépourvue de toute impulsion surnaturelle, qui a animé les auteurs de la soi-disant « réforme liturgique » – qui, pour autant que nous le sachions, ne brillaient certainement pas de la sainteté avec laquelle brillent les auteurs sacrés des textes de l’ancien Missale Romanum et de l’ensemble du corpus liturgique.
Combien d’entre vous, prêtres – et certainement aussi de nombreux laïcs – en récitant les merveilleux versets de la séquence de la Pentecôte ont été émus aux larmes, comprenant que leur prédilection initiale pour la liturgie traditionnelle n’avait rien à voir avec une satisfaction esthétique stérile, mais s’était transformée en une véritable nécessité spirituelle, aussi indispensable que la respiration ?
Comment pouvez-vous et comment pouvons-nous expliquer à ceux qui voudraient aujourd’hui vous priver de ce bien inestimable, que ce rite béni vous a fait découvrir la vraie nature de votre sacerdoce, et que c’est en lui et en lui seul que vous pouvez puiser force et nourriture pour affronter les engagements de votre ministère ?
Comment pouvez-vous faire comprendre que le retour obligatoire au rite montinien représente pour vous un sacrifice impossible, car dans la lutte quotidienne contre le monde, la chair et le diable, il vous laisse désarmés, prostrés et sans force ?
Il est évident que seuls ceux qui n’ont pas célébré la Messe de saint Pie V peuvent la considérer comme une fadeur du passé, dont on peut se passer.
Même de nombreux jeunes prêtres, habitués au Novus Ordo depuis leur adolescence, ont compris que les deux formes de rite n’ont rien en commun, et que l’une est tellement supérieure à l’autre qu’elle en révèle toutes les limites et les critiques, au point d’en rendre la célébration presque douloureuse. Il ne s’agit pas de nostalgie, d’un culte du passé : il s’agit ici de la vie de l’âme, de sa croissance spirituelle, de l’ascèse et de la mystique. Des concepts que ceux qui considèrent leur sacerdoce comme une profession ne peuvent même pas comprendre, tout comme ils ne peuvent pas comprendre l’agonie qu’une âme sacerdotale ressent en voyant l’Espèce eucharistique profanée lors des rites grotesques de la communion à l’époque de la farce pandémique.
La vision réductrice de la libéralisation de la messe :
C’est pourquoi je trouve extrêmement désagréable de devoir lire dans Traditionis Custodes que la raison pour laquelle François estime que le Motu Proprio Summorum Pontificum a été promulgué il y a quatorze ans ne tient qu’au désir de guérir le soi-disant schisme de Mgr Lefebvre. Bien sûr, le calcul « politique » a pu avoir son poids, surtout à l’époque de Jean-Paul II, même si à cette époque les fidèles de la Fraternité Saint-Pie X étaient peu nombreux. Mais la demande de pouvoir redonner la citoyenneté à la messe qui, pendant deux millénaires, a nourri la sainteté des fidèles et donné la sève de la vie à la civilisation chrétienne, ne peut être réduite à un fait contingent.
Par son Motu Proprio, Benoît XVI a restitué à l’Église la Messe apostolique romaine, en déclarant qu’elle n’avait jamais été abolie. Indirectement, il a admis qu’il y avait eu un abus de la part de Paul VI, lorsque, pour donner de l’autorité à son rite, il a impitoyablement interdit la célébration de la liturgie traditionnelle. Et même si dans ce document il peut y avoir quelques éléments incongrus, comme la coexistence des deux formes du même rite, nous pouvons croire que ceux-ci ont servi à permettre la diffusion de la forme extraordinaire, sans affecter la forme ordinaire.
En d’autres temps, il aurait semblé incompréhensible de laisser célébrer une messe imprégnée de malentendus et d’omissions, alors que l’autorité du Pontife aurait pu simplement restaurer le rite ancien. Mais aujourd’hui, avec le lourd fardeau de Vatican II et avec la mentalité sécularisée désormais répandue, même la simple pudeur de célébrer la Messe tridentine sans autorisation peut être considérée comme un bien indéniable – un bien visible par tous en raison des fruits abondants qu’il apporte aux communautés où il est célébré. Et nous pouvons également croire qu’elle aurait apporté encore plus de fruits si seulement Summorum Pontificum avait été appliquée en tous ses points et avec un esprit de véritable communion ecclésiale.
Le prétendu « usage instrumental » du missel romain :
François sait bien que le sondage effectué auprès des évêques du monde entier n’a pas donné de résultats négatifs, même si la formulation des questions indiquait clairement les réponses qu’il souhaitait recevoir. Cette consultation était un prétexte, afin de faire croire que la décision qu’il a prise était inévitable et le fruit d’une demande chorale de l’épiscopat.
Nous savons tous que si Beroglio veut obtenir un résultat, il n’hésite pas à recourir à la force, au mensonge et aux tours de passe-passe : les événements des derniers Synodes l’ont démontré au-delà de tout doute raisonnable, avec l’Exhortation post-synodale rédigée avant même le vote de l’Instrumentum Laboris. Dans ce cas aussi, donc, le but préétabli était l’abolition de la Messe tridentine et la prophase, c’est-à-dire l’excuse apparente, devait être le supposé « usage instrumental du Missel romain de 1962, souvent caractérisé par un rejet non seulement de la réforme liturgique, mais du Concile Vatican II lui-même » (ici).
En toute honnêteté, on peut éventuellement accuser de cet usage instrumental la Fraternité Saint-Pie X, qui a le droit d’affirmer ce que chacun de nous sait bien, à savoir que la Messe de Saint-Pie V est incompatible avec l’ecclésiologie et la doctrine post-conciliaires. Mais la Fraternité n’est pas concernée par le Motu Proprio et a toujours célébré en utilisant le Missel de 1962, précisément en vertu de ce droit inaliénable que Benoît XVI a reconnu et qui n’a pas été créé ex nihilo en 2007.
Le prêtre diocésain qui célèbre la Messe dans l’église qui lui est assignée par l’évêque et qui, chaque semaine, doit subir le troisième degré à cause des accusations de catholiques progressistes zélés, uniquement parce qu’il a osé réciter le Confiteor avant d’administrer la Communion aux fidèles, sait très bien qu’il ne peut pas dire du mal du Novus Ordo ou de Vatican II, car à la première syllabe, il serait déjà convoqué à la Curie et envoyé dans une église paroissiale perdue dans les montagnes. Ce silence, toujours douloureux et presque toujours perçu par tous comme plus éloquent que beaucoup de mots, est le prix qu’il doit payer pour avoir la possibilité de célébrer la Sainte Messe de tous les temps, pour ne pas priver les fidèles des grâces qu’elle déverse sur l’Eglise et le monde.
Et ce qui est encore plus absurde, c’est qu’alors que nous entendons dire impunément que la Messe tridentine doit être abolie parce qu’elle est incompatible avec l’ecclésiologie de Vatican II, dès que nous disons la même chose – c’est-à-dire que la Messe montinienne est incompatible avec l’ecclésiologie catholique – nous sommes immédiatement l’objet de condamnation, et notre affirmation est utilisée comme preuve contre nous devant le tribunal révolutionnaire de Santa Marta.
Je me demande quelle sorte de maladie spirituelle a pu frapper les bergers au cours des dernières décennies, pour les amener à devenir, non pas des pères aimants, mais des censeurs impitoyables de leurs prêtres, des fonctionnaires constamment à l’affût et prêts à révoquer tous les droits en vertu d’un chantage qu’ils ne cherchent même pas à dissimuler. Ce climat de suspicion ne contribue pas le moins du monde à la sérénité de nombreux bons prêtres, lorsque le bien qu’ils font est toujours placé sous la loupe de fonctionnaires qui considèrent le fidèle lié à la Tradition comme un danger, comme une présence gênante à tolérer tant qu’elle ne se fait pas trop remarquer.
Mais comment concevoir une Église dans laquelle le bien est systématiquement entravé et où celui qui le fait est considéré avec suspicion et gardé sous contrôle ? Je comprends donc le scandale de nombreux catholiques, de fidèles et de pas mal de prêtres face à ce « berger qui, au lieu de sentir ses brebis, les frappe rageusement avec un bâton »
Le malentendu de pouvoir jouir d’un droit comme s’il s’agissait d’une concession gracieuse se retrouve également dans les affaires publiques, où l’État se permet d’autoriser les voyages, les cours scolaires, l’ouverture d’activités et l’exécution de travaux, à condition de ne pas renoncer à l’inoculation du sérum génétique expérimental. Ainsi, de même que la « forme extraordinaire » est accordée à la condition d’accepter le Conseil et la messe réformée, de même dans la sphère civile les droits des citoyens sont accordés à la condition d’accepter le récit de la pandémie, la vaccination et les systèmes de traçage.
Il n’est pas surprenant que dans de nombreux cas, ce sont précisément les prêtres et les évêques – et Bergoglio lui-même – qui demandent que les gens soient vaccinés pour pouvoir accéder aux sacrements – la parfaite synchronisation des actions des deux côtés est pour le moins troublante.
Mais où est donc cet usage instrumental du Missale Romanum ? Ne devrions-nous pas plutôt parler de l’utilisation instrumentale du Missel de Paul VI, qui – pour paraphraser les paroles de Bergoglio – se caractérise de plus en plus par un rejet croissant non seulement de la tradition liturgique préconciliaire mais aussi de tous les Conciles œcuméniques antérieurs à Vatican II ? D’autre part, n’est-ce pas précisément François qui considère comme une menace pour le Concile le simple fait que l’on puisse célébrer une messe qui répudie et condamne toutes les déviations doctrinales de Vatican II ?
Autres incongruités
Jamais, dans l’histoire de l’Église, un Concile ou une réforme liturgique n’ont constitué un point de rupture entre ce qui a précédé et ce qui a suivi ! Jamais, au cours de ces deux millénaires, les Pontifes romains n’ont délibérément tracé une frontière idiogène entre l’Église qui les a précédés et celle qu’ils devaient gouverner, annulant et contredisant le Magistère de leurs prédécesseurs ! L’avant et l’après, au contraire, sont devenus une obsession, aussi bien pour ceux qui, prudemment, ont insinué des erreurs doctrinales derrière des expressions équivoques, que pour ceux qui, avec l’audace de ceux qui croient avoir gagné, ont propagé Vatican II comme « le 1789 de l’Église », comme un événement « prophétique » et « révolutionnaire ». Avant le 7 juillet 2007, en réponse à la propagation du rite traditionnel, un célèbre maître de cérémonie pontifical a répondu avec piquant : « Il n’y a pas de retour en arrière possible ! » Et pourtant, apparemment avec François, on peut revenir sur la promulgation du Summorum Pontificum – et comment ! – si cela sert à préserver le pouvoir et à empêcher le Bien de se répandre. C’est un slogan qui fait sinistrement écho au cri de « Rien ne sera plus comme avant » de la farce pandémique.
L’admission par François d’une prétendue division entre les fidèles liés à la liturgie tridentine et ceux qui, en grande partie par habitude ou par résignation, se sont adaptés à la liturgie réformée est révélatrice : il ne cherche pas à guérir cette division en reconnaissant les pleins droits à un rite qui est objectivement meilleur par rapport au rite montinien, mais précisément pour empêcher que la supériorité ontologique de la Messe de Saint Pie V ne devienne évidente, et pour empêcher que les critiques du rite réformé et de la doctrine qu’il exprime n’émergent, il l’interdit, il le qualifie de diviseur, il le cantonne dans les réserves indiennes, en essayant de limiter au maximum sa diffusion, afin qu’il disparaisse complètement au nom de la culture de l’annulation dont la révolution conciliaire a été le précurseur malheureux. Ne pouvant tolérer que le Novus Ordo et Vatican II sortent inexorablement vaincus de leur confrontation avec le Vetus Ordo et le Magistère catholique pérenne, la seule solution qui peut être adoptée est d’effacer toute trace de la Tradition, en la reléguant au refuge nostalgique de quelque octogénaire irréductible ou d’une clique d’excentriques, ou en la présentant – comme prétexte – comme le manifeste idéologique d’une minorité de fondamentalistes. D’autre part, la construction d’une version médiatique conforme au système, à répéter ad nauseam pour endoctriner les masses, est l’élément récurrent non seulement dans la sphère ecclésiastique mais aussi dans la sphère politique et civile, de sorte qu’il apparaît avec une évidence déconcertante que l’Église profonde et l’État profond ne sont rien d’autre que deux voies parallèles qui vont dans le même sens et ont pour destination finale le Nouvel Ordre Mondial, avec sa religion et son prophète.
La division est là, évidemment, mais elle ne vient pas des bons catholiques et du clergé qui restent fidèles à la doctrine de toujours, mais plutôt de ceux qui ont remplacé l’orthodoxie par l’hérésie et le Saint Sacrifice par une agape fraternelle. Cette division n’est pas nouvelle aujourd’hui, mais remonte aux années soixante, lorsque « l’esprit du Concile », l’ouverture au monde et le dialogue interreligieux ont mis à la paille deux mille ans de catholicité et ont révolutionné tout le corps ecclésial, en persécutant et en ostracisant les réfractaires. Pourtant, cette division, accomplie en introduisant la confusion doctrinale et liturgique au cœur de l’Église, ne semblait pas alors si déplorable ; alors qu’aujourd’hui, en pleine apostasie, on considère paradoxalement comme des diviseurs ceux qui demandent, non pas la condamnation explicite de Vatican II et du Novus Ordo, mais simplement la tolérance de la Messe « dans la forme extraordinaire » au nom du pluralisme multiforme tant vanté.
Il est significatif que, même dans le monde civilisé, la protection des minorités n’est valable que lorsqu’elles servent à démolir la société traditionnelle, alors que cette protection est ignorée lorsqu’elle garantirait les droits légitimes des citoyens honnêtes. Et il est devenu clair que sous le prétexte de la protection des minorités, la seule intention était d’affaiblir la majorité des bons, tandis que maintenant que la majorité est composée de corrompus, la minorité des bons peut être écrasée sans pitié : l’histoire récente ne manque pas de précédents éclairants à cet égard.
La nature tyrannique de Traditionis custodes A mon avis, ce n’est pas tant tel ou tel point du Motu Proprio qui est déconcertant, mais plutôt sa nature tyrannique globale accompagnée d’une fausseté substantielle des arguments avancés pour justifier les décisions imposées.
Le scandale est également donné par l’abus de pouvoir d’une autorité dont la raison d’être n’est pas d’entraver ou de limiter les grâces qui sont accordées à ses adhérents par l’intermédiaire de l’Église, mais plutôt de promouvoir ces grâces ; non pas de retirer la gloire de la Majesté divine avec un rite qui fait un clin d’œil aux protestants, mais plutôt de rendre cette gloire parfaitement ; non pas de semer des erreurs doctrinales et morales, mais plutôt de les condamner et de les éradiquer. Ici aussi, le parallèle avec ce qui se passe dans le monde civil n’est que trop évident : nos gouvernants abusent de leur pouvoir comme le font nos prélats, en imposant des normes et des limitations en violation des principes les plus élémentaires du droit.
En outre, ce sont précisément ceux qui sont constitués en autorité, sur les deux fronts, qui se prévalent souvent d’une simple reconnaissance de facto par la base – citoyens et fidèles – même lorsque les méthodes par lesquelles ils ont pris le pouvoir violent, sinon la lettre, du moins l’esprit de la loi. Le cas de l’Italie – où un gouvernement non élu légifère sur l’obligation de se faire vacciner et sur le passeport vert, en violant la Constitution italienne et les droits naturels du peuple italien – ne semble pas très différent de la situation dans laquelle se trouve l’Église, avec un Pontife démissionnaire remplacé par Jorge Mario Bergoglio, choisi – ou du moins apprécié et soutenu – par la mafia saint-galloise et l’épiscopat ultra-progressiste.
Il reste évident qu’il existe une profonde crise de l’autorité, tant civile que religieuse, dans laquelle ceux qui exercent le pouvoir le font à l’encontre de ceux qu’ils sont censés protéger, et surtout à l’encontre du but pour lequel cette autorité a été établie.
Analogies entre l’Église profonde et l’État profond ! Je pense que l’on a compris que la société civile et l’Église souffrent du même cancer qui a frappé la première avec la Révolution française et la seconde avec le Concile Vatican II : dans les deux cas, la pensée maçonnique est à la base de la démolition systématique de l’institution et de son remplacement par un simulacre qui conserve ses apparences extérieures, sa structure hiérarchique et sa force coercitive, mais avec des objectifs diamétralement opposés à ceux qu’elle devrait avoir.
A ce stade, les citoyens d’une part et les fidèles d’autre part se trouvent dans la condition de devoir désobéir à l’autorité terrestre pour obéir à l’autorité divine, qui gouverne les Nations et l’Eglise. Il est évident que les « réactionnaires » – c’est-à-dire ceux qui n’acceptent pas la perversion de l’autorité et veulent rester fidèles à l’Église du Christ et à leur Patrie – constituent un élément de dissidence qui ne peut en aucun cas être toléré, et qui doit donc être discrédité, délégitimé, menacé et privé de ses droits au nom d’un « bien public » qui n’est plus le bonum commune mais son contraire.
Qu’ils soient accusés de théorie du complot, de traditionalisme ou de fondamentalisme, ces quelques survivants d’un monde qu’ils veulent faire disparaître constituent une menace pour l’accomplissement du plan global, juste au moment le plus crucial de sa réalisation. C’est pourquoi le pouvoir réagit de manière aussi ouverte, effrontée et violente : l’évidence de la fraude risque d’être comprise par un plus grand nombre de personnes, de les rassembler dans une résistance organisée, de briser le mur du silence et la censure féroce imposés par les grands médias.
Nous pouvons donc comprendre la violence des réactions de l’autorité et nous préparer à une opposition forte et déterminée, en continuant à nous prévaloir des droits qui nous ont été abusivement et illicitement refusés. Bien sûr, nous pourrons nous trouver dans l’obligation d’exercer ces droits de manière incomplète lorsqu’on nous refusera la possibilité de voyager si nous n’avons pas notre laissez-passer vert ou si l’évêque nous interdit de célébrer la Messe de toujours dans une église de son diocèse, mais notre résistance aux abus d’autorité pourra toujours compter sur les Grâces que le Seigneur ne cessera de nous accorder – en particulier la vertu de Fortitude qui est si indispensable en temps de tyrannie.
La normalité qui effraie Si, d’une part, nous pouvons constater que la persécution des dissidents est bien organisée et planifiée, d’autre part, nous ne pouvons manquer de reconnaître la fragmentation de l’opposition. Bergoglio sait bien que tout mouvement de dissidence doit être réduit au silence, surtout en créant des divisions internes et en isolant les prêtres et les fidèles. Une collaboration fructueuse et fraternelle entre le clergé diocésain, les religieux et les instituts Ecclesia Dei est une chose qu’il doit éviter, car elle permettrait de diffuser une connaissance du rite ancien, ainsi qu’une aide précieuse dans le ministère. Mais cela signifierait faire de la messe tridentine une « normalité » dans la vie quotidienne des fidèles, ce qui n’est pas tolérable pour François.
Pour cette raison, le clergé diocésain est laissé à la merci de ses Ordinaires, tandis que les Instituts Ecclesia Dei sont placés sous l’autorité de la Congrégation des Religieux, comme un triste prélude à un destin déjà scellé. N’oublions pas le sort qui a frappé les Ordres religieux florissants, coupables d’être bénis par de nombreuses vocations nées et nourries précisément grâce à la Liturgie traditionnelle détestée et à l’observance fidèle de la Règle. C’est pourquoi certaines formes d’insistance sur l’aspect cérémoniel des célébrations risquent de légitimer les dispositions du commissaire et de faire le jeu de Bergoglio.
Même dans le monde civil, c’est précisément en encourageant certains excès des dissidents que les gouvernants les marginalisent et légitiment les mesures répressives à leur égard : il suffit de penser au cas des mouvements no-vax et à la facilité avec laquelle on discrédite les protestations légitimes des citoyens en soulignant les excentricités et les incohérences de quelques-uns. Et il est trop facile de condamner quelques agités qui, par exaspération, ont mis le feu à un centre de vaccination, en occultant des millions de personnes honnêtes qui descendent dans la rue pour ne pas être marquées du passeport sanitaire ou licenciées si elles ne se laissent pas vacciner.
Ne pas rester isolé et désorganisé Un autre élément important pour nous tous est la nécessité de donner une visibilité à notre protestation composée et d’assurer une forme de coordination de l’action publique. Avec l’abolition du Summorum Pontificum, nous nous trouvons ramenés vingt ans en arrière.
Cette décision malheureuse de Bergoglio d’annuler le Motu Proprio du Pape Benoît est vouée à un échec inexorable, car elle touche à l’âme même de l’Église, dont le Seigneur lui-même est Pontife et Grand Prêtre. Et il n’est pas acquis que l’épiscopat tout entier – comme nous le constatons ces derniers jours avec soulagement – soit disposé à se soumettre passivement à des formes d’autoritarisme qui ne contribuent certainement pas à apporter la paix aux âmes.
Le Code de droit canonique garantit aux évêques la possibilité de dispenser leurs fidèles des lois particulières ou universelles, sous certaines conditions. Deuxièmement, le peuple de Dieu a bien compris le caractère subversif de Traditionis Custodes et est instinctivement amené à vouloir connaître ce qui suscite une telle désapprobation chez les progressistes.
Ne soyons donc pas surpris si nous commençons bientôt à voir les fidèles issus de la vie paroissiale ordinaire et même ceux qui sont éloignés de l’Église trouver le chemin des églises où la messe traditionnelle est célébrée.
Il sera de notre devoir, que ce soit en tant que ministres de Dieu ou en tant que simples fidèles, de faire preuve de fermeté et de résistance sereine à de tels abus, en marchant sur le chemin de notre propre petit calvaire avec un esprit surnaturel, alors que les nouveaux grands prêtres et scribes du peuple se moquent de nous et nous qualifient de fanatiques. Ce sera notre humilité, l’offrande silencieuse des injustices à notre égard, et l’exemple d’une vie cohérente avec le Credo que nous professons qui méritera le triomphe de la Messe catholique et la conversion de nombreuses âmes. Et souvenons-nous que, puisque nous avons beaucoup reçu, on exigera beaucoup de nous.
Restitutio in integrum Quel père parmi vous, si son fils lui demande du pain, lui donnera une pierre ? Ou, s’il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent à la place ? (Lc 11, 11-12).
Nous pouvons maintenant comprendre le sens de ces paroles, en considérant avec douleur et tourment du cœur le cynisme d’un père qui nous donne les pierres d’une liturgie sans âme, les serpents d’une doctrine corrompue, et les scorpions d’une morale frelatée. Et qui en arrive à diviser le troupeau du Seigneur entre ceux qui acceptent le Novus Ordo et ceux qui veulent rester fidèles à la messe de nos pères, exactement comme les gouvernants civils opposent les vaccinés et les non-vaccinés.
Lorsque Notre Seigneur entra à Jérusalem assis sur un ânon, alors que la foule écartait les manteaux sur son passage, les Pharisiens lui demandèrent : « Maître, reprends tes disciples. » Le Seigneur leur répondit : » Je vous le dis, si ceux-ci se taisent, les pierres crieront » (Lc 19, 28-40).
Depuis soixante ans, les pierres de nos églises crient, d’où le Saint Sacrifice a été deux fois proscrit. Le marbre des autels, les colonnes des basiliques et les voûtes vertigineuses des cathédrales crient aussi, parce que ces pierres, consacrées au culte du vrai Dieu, sont aujourd’hui abandonnées et désertées, ou profanées par des rites odieux, ou transformées en parkings et en supermarchés, précisément à cause de ce Concile que nous nous obstinons à défendre. Nous aussi, crions : nous qui sommes les pierres vivantes du temple de Dieu. Crions avec foi vers le Seigneur, pour qu’il donne une voix à ses disciples aujourd’hui muets, et pour que soit réparé le vol intolérable dont sont responsables les administrateurs de la Vigne du Seigneur.
Mais pour que ce vol soit réparé, il faut que nous nous montrions dignes des trésors qui nous ont été volés. Essayons de le faire par notre sainteté de vie, en donnant l’exemple des vertus, par la prière et la réception fréquente des sacrements.
Et n’oublions pas qu’il y a des centaines de bons prêtres qui connaissent encore le sens de la Sainte Onction par laquelle ils ont été ordonnés Ministres du Christ et dispensateurs du Mystère de Dieu. Le Seigneur daigne descendre sur nos autels, même lorsqu’ils sont érigés dans des caves ou des greniers. Contrariis quibuslibet minime obstantibus [Toute chose contraire nonobstant].
Carlo Maria Viganò, Archevêque
28 juillet 2021 Ss. Nazarii et Celsi Martyrum, Victoris I Papae et Martyris ac Innocentii I Papae et Confessoris
L’archevêque Viganò : Les vaccins fabriqués à partir de tissu fœtal sont un « sacrifice humain de victimes innocentes offertes à Satan »… Nous pouvons nous rendre compte combien la défection des Pasteurs est une prémisse nécessaire à l’établissement du royaume de l’Antéchrist. Si le pape et les évêques avaient un minimum de crainte de Dieu, ils n’essaieraient pas de justifier par un sophisme indigne un vaccin qui, pour être produit, nécessite des cellules souches obtenues à partir de fœtus volontairement avortés
Traduction : Fabienne Maria
L’archevêque Viganò : Les vaccins fabriqués à partir de tissu fœtal sont un « sacrifice humain de victimes innocentes offertes à Satan ».
Si le pape et les évêques avaient un minimum de crainte de Dieu, ils n’essaieraient pas de justifierpar un sophisme indigne un vaccin qui, pour être produit, nécessite des cellules souches obtenues à partir de fœtus volontairement avortés.
21 juillet 2021 (LifeSiteNews) – L’archevêque Carlo Maria Viganò, dans une préface à un livre sur le problème du vaccin contre le coronavirus, décrie la nature satanique de ce vaccin utilisant des tissus de bébés avortés dans sa production et ses tests. Pour ce prélat italien, le vaccin est un outil de l’idéologie mondialiste qui est « anti-humaine, anti-religieuse et antichristique. »
Viganò voit que « l’avortement est proposé par les satanistes comme un rite religieux véritable et approprié », arguant que dans cette vision satanique du monde, par le biais d’un vaccin contaminé par l’avortement, on devient membre de l’anti-église satanique. Il écrit que Satan prétend, « par l’intermédiaire des entreprises pharmaceutiques qui utilisent le tissu fœtal provenant d’avortements pour fabriquer un soi-disant vaccin qui est présenté dans le délire de Covid-19 comme un sacrement de salut par lequel on est incorporé dans le ‘corps mystique’ de Satan, l’anti-église mondialiste. »
Mors Tua Vita Mea (Ta mort est ma vie) est le titre du livre italien sur les vaccins à coronavirus contaminés par l’avortement, auquel l’archevêque Viganò a contribué en tant qu’avant-propos (voir des extraits en traduction anglaise ci-dessous). Édité par le professeur Massimo Viglione, le livre contient également des essais de l’évêque Athanasius Schneider et du rédacteur en chef de LifeSite, John-Henry Westen. Son sous-titre est : « La fin ne justifie pas les moyens ».
Pour Mgr Viganò, il ne fait aucun doute que le vaccin contre le coronavirus ne pourra jamais justifier le meurtre de bébés à naître. Au contraire, ce vaccin semble être utilisé comme un moyen de nous habituer de plus en plus à tuer des bébés au nom de l’humanité. Il déclare :
…nous ne pouvons manquer de voir à quel point le vaccin contribue, précisément par sa valeur « mystique », à l’acceptation collective du sacrifice humain comme normal et même nécessaire : la créature la plus innocente et sans défense, le bébé dans le ventre de sa mère au troisième mois de gestation, est sacrifiée et démembrée afin d’extraire de son corps encore palpitant des tissus avec lesquels produire un non-médicament, un non-vaccin, qui non seulement ne guérit pas du virus, mais qui, selon toute vraisemblance, cause un plus grand pourcentage de décès que le Covid lui-même, surtout chez les personnes âgées ou malades.
Vous trouverez ci-dessous l’extrait de la préface de l’archevêque Viganò au livre Mors Tua Vita Mea, publié avec l’aimable autorisation du professeur Massimo Viglione :
Aures habent, et non audient. Ps 113
La barbarie dans laquelle se trouve notre société est désormais évidente : ses valeurs ont été progressivement effacées comme des vestiges haineux d’un monde éteint, au profit des délires de l’idéologie mondialiste, qui se montre toujours plus anti-humaine, anti-religieuse et antichristique. Le principe le plus antithétique de cette barbarie infernale par rapport à la civilisation chrétienne est l’infanticide, le sacrifice humain de victimes innocentes offertes à Satan ; et malgré l’horreur de le voir effrontément admis, nous ne pouvons pas être surpris si l’avortement est proposé par les satanistes comme un rite religieux véritable et approprié, auquel il faut accorder une protection au nom de la liberté de culte. Les anciens rites païens – omnes dii gentium demonia, dit le Psaume – revivent aujourd’hui dans l’offrande sacrificielle que les mères malheureuses croient pouvoir revendiquer comme un droit.
Si les premiers-nés d’Israël appartiennent au Seigneur, la simia Dei exige beaucoup plus des premiers-nés et les revendique même par le biais des entreprises pharmaceutiques qui utilisent les tissus fœtaux provenant d’avortements pour fabriquer un soi-disant vaccin qui est présenté dans le délire de Covid-19 comme un sacrement de salut par lequel on est incorporé dans le « corps mystique » de Satan, l’anti-église mondialiste.
D’autre part, la connotation « liturgique » de la pandémie fait intentionnellement écho aux signes et symboles propres à la Vraie Religion de manière à tromper même les simples et à les pousser à se conformer à un culte collectif qui les dispense de prendre des décisions de manière indépendante et les lie à une obéissance sans critique. Nous ne pouvons oublier les cortèges funèbres de camions militaires, l’attitude contradictoire et intolérante des prêtres covidés, le magistère sanitaire des « experts », l’inquisition contre les « hérétiques » négationnistes et l’adhésion fidéiste aux superstitions les plus grotesques que les sorciers virologues et les vestales de la télévision font passer pour de la science.
Le sérum génétique appelé vaccin, comme l’ont très bien démontré les scientifiques et les spécialistes, et comme l’admettent ses producteurs eux-mêmes, ne garantit pas l’immunité ; il n’exclut pas de graves effets secondaires à court et à long terme ; il n’est pas efficace contre certaines variantes du Covid ; il ne supprime pas la nécessité du masque et de la distanciation sociale ; dans la majorité des cas, le nombre de tests positifs augmente, et donc le terrorisme médiatique et le renforcement des mesures de confinement aussi. Proposé comme une panacée, le soi-disant « vaccin » s’est avéré n’être que la source de profits énormes et scandaleux pour Big Pharma et, en même temps, sert de prétexte pour imposer des passeports sanitaires et d’autres systèmes de contrôle des masses et de limitation des libertés naturelles.
Mais à côté de cette évidente inutilité du « vaccin » – inutilité que tout médecin non soumis au système aurait envisagée dès le début, puisque les virus Corona sont susceptibles de muter – on ne peut manquer de voir combien il contribue, précisément par sa valeur « mystique », à l’acceptation collective du sacrifice humain comme normal et même nécessaire : la créature la plus innocente et sans défense, le bébé dans le ventre de sa mère au troisième mois de gestation, est sacrifiée et démembrée afin d’extraire de son corps encore palpitant des tissus avec lesquels produire un non-curatif, un non-vaccin, qui non seulement ne guérit pas du virus, mais qui, selon toute vraisemblance, provoque un pourcentage de mortalité plus élevé que le Covid lui-même, surtout chez les personnes âgées ou malades.
Mais qui sont ces mères qui, reniant leur nature même, acceptent de tuer leur propre enfant ? La majorité d’entre elles sont des femmes qui en sont à leur première grossesse, inconscientes de l’horreur qu’elles s’apprêtent à commettre et des remords qui les accompagneront à jamais. Voici les premiers-nés à consacrer à Satan : les enfants de mères malheureuses et de filles gâtées, qui découvrent ce que signifie être mère précisément en ne voulant pas l’être, mais en pervertissant leur féminité en la réduisant à une monnaie d’échange ou à un instrument de jouissance éphémère, au nom de droits qu’elles revendiquent pour elles-mêmes mais qu’elles se permettent de refuser aux créatures qu’elles portent dans leur ventre. Le non serviam se répète inexorablement chaque fois que l’on refuse l’obéissance du fiat et que l’on se rebelle contre la volonté du Tout-Puissant.
Dans l’avortement, Satan réalise la plus grande injure à Dieu : il l’offense en tant que Créateur, en faisant de la mère la meurtrière de son propre enfant ; il l’offense en tant que Seigneur, en usurpant le droit de vie et de mort sur des créatures innocentes et en s’arrogeant le droit de violer impunément le cinquième commandement ; il l’offense en tant que Rédempteur, en annulant les fruits de la Passion du Christ pour les créatures tuées sans la grâce du baptême ; il l’offense en tant que Père, tout en vilipendant la Maternité sacrée de la Très Sainte Vierge.
Une grande confusion règne dans cette phase douloureuse de l’histoire de l’Église : l’inaction ou l’abus de l’autorité de la Hiérarchie, ainsi que la trahison de tant de faux pasteurs et de mercenaires, ne contribuent pas à dissiper la confusion des fidèles, et même les Pasteurs alimentent la confusion avec des orientations partielles, discordantes et contradictoires. En cela aussi nous pouvons nous rendre compte de la gravité de la situation, et combien la défection des Pasteurs est une prémisse nécessaire à l’établissement du royaume de l’Antéchrist.
Si le pape et les évêques avaient un minimum de crainte de Dieu, ils n’essaieraient pas de justifier par un sophisme indigne un vaccin qui, pour être produit, nécessite des cellules souches obtenues à partir de fœtus volontairement avortés. Le pretium sanguinis suffirait pour qu’ils ne le prennent même pas en considération, mais peut-être que parmi les bénéficiaires de ce pretium il y a aussi des prélats qui se soucient plus des louanges hypocrites des ennemis du Christ que du témoignage héroïque de la Foi. […]
Un archevêque missionnaire : François ouvre la voie à l’Antéchrist !
François « endommage radicalement l’unité et l’héritage de près de deux mille ans », déclare l’archevêque retraité de Karaganda, Jan Lenga, 71 ans, qui a été suspendu pour son courage dans une vidéo polonaise du 27 juillet au sujet de Traditiones Custodes (ci-dessous).
François essaie « d’endommager tout ce qui donne encore des signes de gloire et d’adoration à Jésus-Christ comme Dieu », analyse Lenga. Pour lui, Bergoglio est comme une belle-mère qui préfère certains de ses enfants mais pas ceux qui aiment Dieu, qui sont traités comme s’ils étaient des « terroristes. »
Il rappelle que Pie V (+1572) n’a pas changé le Missel mais a seulement produit une Editio typica, alors que Paul VI (+1978) « qu’ils qualifient de saint a changé près de deux mille ans de catholicisme. »
Pour Lenga, le nouveau rite est une « messe endommagée » et un « cancer » créé par les politiciens parce que la « messe pour tous les temps » était un obstacle au « cancer maçonnique, laïc, moderniste, libéral et progressiste imposé à l’Église. »
Il y a maintenant un conflit entre obéir au Christ ou à François qui « essaie de détruire le reste de l’héritage de Dieu sur cette Terre afin d’ouvrir la voie à la venue de l’Antéchrist », estime Lenga.
Il encourage les fidèles à créer des sanctuaires dans les maisons privées. Lorsque Lenga est arrivé à Karaganda – où il a fait du père Athanasius Schneider un évêque – il a trouvé dans chaque maison un espace avec un autel pour célébrer la messe .
PRIÈRE DU SERPENT D’AIRAIN : PRIÈRE POUR NOTRE PROTECTION !
PRIÈRE DU SERPENT D’AIRAIN
Cette prière de protection peut être récitée dans la foi si vous avez reçu la première et même la seconde injection du « vaccin » (thérapie génique) expérimental anti-COVID et réalisez aujourd’hui les dangers qu’il peut représenter pour votre système immunitaire et pour votre vie.
J’ai appris l’existence de la prière qui suit dans la vidéo de Christine Watkins (en anglais). Cette prière de protection peut être récitée dans la foi si vous avez reçu la première et même la seconde injection du « vaccin »!
( Dites avec foi: cette Prière du Serpent d’Airain )!
Mon Jésus, Je confesse résolument que Tu es le seul vrai guérisseur des corps et des âmes.Sois attentif envers Ton serviteur / Ta servante qui, contraint par les menaces des puissants, est forcé d’accepter ce poison contre sa volonté (ou : a accepté ce poison à son insu)S’il devait s’avérer dangereux d’une façon ou d’une autre pour mon esprit, mon corps ou mon âme, ou représenter un quelconque danger pour les membres de ma famille, brise, par Ta puissance, ses effets mortels.Je te le demande par l’intercession de Saint Michel Archange, Saint Joseph le Juste, et Marie Toujours Vierge.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen.
* * *Église, réveille-toi ! Priez. Rassemblez-vous. L’Église s’est laissé tromper et les fidèles ne le savent pas. Il existe des remèdes sûrs [et naturels] pour guérir du Covid-19, et en poussant les fidèles à se faire vacciner, l’Église s’inflige de terribles dommages à elle-même.
Réveille-toi, Ô Église ! Rassemblez-vous. Priez ensemble. Voyez la main derrière toutes ces mesures et restrictions, derrière ces injections qui cherchent à vous nuire. Tout cela ne vient pas de la main de Dieu.
Ces imposteurs causeront partout des souffrances terribles aux Chrétiens s’ils n’acceptent pas cette nouvelle organisation culturelle, politiquement avalisée, qui se donnera le nom d’église de Dieu.
SE DRESSERA A ROME UN PUISSANT ÉDIFICE QUI DEVIENDRA UN LIEU DE RASSEMBLEMENT, TOUTES LES RELIGIONS Y SERONT BIENVENUES !
Le Temple de Dieu sera profané au point de le rendre méconnaissable
Mardi 1er janvier 2013 à 19h20
Ma chère fille bien-aimée, la nouvelle aurore s’est levée et les changements en préparation de Mon Second Avènement ont commencé.
Les guerres au Moyen-Orient vont maintenant s’intensifier et beaucoup mourront aux mains du groupe satanique. Eux, membres de ce groupe satanique, vont cependant être stoppés par la Main de Mon Père. Chacun et chacune d’eux seront frappé à mesure qu’ils feront courir un risque plus grand aux enfants de Dieu.
Mes Plans se font connaître et ceux d’entre vous choisis par Moi pour mener le Petit Reste d’Église, vont rapidement bâtir des bases à travers le monde. Ces lieux seront ceux où vous devrez aller afin de M’honorer en paix lorsque vos Églises ne vous accueilleront plus comme elles le devraient.
Vos églises ne deviendront rien d’autre que des lieux de divertissement où de la musique et des rituels païens seront mis en scène lors de cérémonies élaborées. Ces événements seront supposés être en l’honneur de Dieu. Au contraire, les organisateurs idolâtreront des actes coupables et déclareront qu’ils sont en accord avec Mes Enseignements.
Un grand nombre d’entre eux se présenteront bientôt comme les nouveaux serviteurs de Dieu. Beaucoup n’auront jamais été préparés dans l’Église Chrétienne et, par conséquent, ne seront pas aptes à donner les Saints Sacrements aux enfants de Dieu. Ce seront des imposteurs. Ils dicteront à tous la vérité de ce qu’ils diront être les enseignements de Dieu dans le monde d’aujourd’hui. Leurs mensonges atteindront les oreilles de l’humanité dans le monde entier. Beaucoup seront attirés par ce qu’ils percevront comme une démarche nouvelle et fraîche de Mes Enseignements et de l’Amour de Dieu. Tout cela ne sera qu’un mensonge abominable. Beaucoup seront séduits afin d’accepter la nouvelle Religion Unique Mondiale.
Tandis que la fausse église grandira et attirera de nombreuses célébrités, les média et les dirigeants politiques, Mon Petit Reste d’Église se développera. Un grand nombre de Mes serviteurs sacrés Me seront infidèles et rejoindront la nouvelle religion unique mondiale dans laquelle ils seront accueillis à bras ouverts.
Ces imposteurs causeront partout des souffrances terribles aux Chrétiens s’ils n’acceptent pas cette nouvelle organisation culturelle, politiquement avalisée, qui se donnera le nom d’église de Dieu.
Alors que les Chrétiens seront la cible principale de la haine, la Maison d’Israël sera elle aussi visée et les Juifs deviendront les boucs émissaires de cette guerre des âmes. Rien ne semblera être extérieurement différent dans les premiers jours. Bientôt se dressera à Rome un riche et puissant édifice qui deviendra un lieu de rassemblement. Toutes les religions y seront bienvenues jusqu’à ce qu’elles soient forcées d’avaler les mensonges que leur présentera le Nouvel Ordre Mondial.
Il ne sera plus admis, par la suite, que certaines pratiques Chrétiennes se fassent en public.
Cela concernera entre autres les Sacrements de Baptême et de la Sainte Communion. Ils seront jugés inacceptables dans un monde moderne et laïc et il vous sera impossible de les recevoir. Le Sacrement de Mariage sera changé et le mariage se fera sous une nouvelle forme. Il n’y aura d’autre façon de recevoir les Vrais Sacrements à ce stade que par le Petit Reste d’Église.
À Mes serviteurs sacrés qui souffriront en Mon Nom pour conserver les Sacrements et la Sainte Messe, sachez ceci. C’est à Moi que vous devez être dévoués, par vos Saints Vœux, et vous ne devez jamais vous laisser tenter à dévier de la Vérité. Une grande pression sera mise sur vous pour déserter les voies du Seigneur. Votre voix ne sera plus qu’un murmure quand l’ennemi essaiera de noyer la Vraie Parole de Dieu.
Rassemblez-vous. Soyez unis. Car très prochainement le Temple de Dieu sera profané au point de le rendre méconnaissable. Il vous suffit de Me suivre, d’écouter votre cœur et votre conscience. Soyez prêts à tout moment pour ce cheminement difficile qui vient. Vous aurez besoin de tout votre courage, votre force et votre persévérance.
Sachez qu’à la fin de votre chemin Je vous attendrai pour vous emporter dans Mes Saints Bras et dans le havre sûr de Mon Nouveau Paradis.
BILL GATES ARRÊTÉ PAR L’ARMÉE AMÉRICAINE LE MARDI 27 JUILLET 2021
( PARTAGEONS )
( Bill Gates : Le milliardaire est à l’origine des campagnes de vaccination mondiales : Son objectif est de vacciner la planète )
L’armée américaine a arrêté mardi le fondateur de Microsoft, Bill Gates, et a accusé cet inadapté social de trafic d’enfants et d’autres crimes innommables contre l’Amérique et son peuple.
Des sources au sein de l’U.S. Navy Judge Advocate General’s Corps ont déclaré à Real Raw News que l’armée avait passé des mois à essayer de trouver Gates, mais que le milliardaire insaisissable avait utilisé sa richesse et ses contacts avec l’État profond pour échapper à la capture, gardant en quelque sorte une longueur d’avance sur la chasse à l’homme de l’armée.
Mais le mardi 27 juillet, Gates a dérapé et les Marines américains ont pu l’appréhender dans une propriété qu’il possédait secrètement à Myrtle Beach, en Caroline du Sud.
Les accusations portées contre Gates couvrent un large éventail. Il aurait contraint la FDA à délivrer une autorisation d’urgence pour les vaccins Covid-19, sachant que le cocktail pharmaceutique potentiellement dangereux ne mettrait pas seulement en danger les receveurs mais brouillerait également l’ADN humain.
Le JAG enquête également pour savoir si les vaccins contiennent des nanoparticules synthétiques fabriquées par Microsoft et la société suédoise de biotechnologie Biohax International.
L’armée allègue que M. Gates aurait pu profiter massivement des ventes de vaccins. Selon les documents du JAG, Gates, qui a précédemment nié avoir un intérêt financier dans les vaccins, a gagné au moins 10 milliards de dollars grâce aux ventes conjointes des vaccins Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson.
Le JAG tient Gates en partie responsable de la mort de 7 000 citoyens américains qui sont décédés dans les 72 heures après avoir reçu le médicament.
En outre, l’armée a accusé Gates d’être le cerveau d’un réseau de trafic d’enfants, qu’il dirigeait avec le pédophile condamné Jeffrey Epstein. Comme l’a rapporté RRN le 20 mai, des Navy Seals américains opérant sous l’autorité du JAG ont pris d’assaut le ranch de 492 acres de Gates dans le nord-ouest du Wyoming et ont découvert un bunker souterrain où des enfants avaient été temporairement logés avant d’être vendus comme esclaves. Une carte SD récupérée sur les lieux montrait une jeune fille en pyjama, menottée à un lit et réclamant sa mère.
Hors caméra, on pouvait entendre un Gates maniaque encourager l’enfant à s’habiller en talons hauts et en lingerie pour mieux plaire à ses « nouveaux papa et maman ».
Cette preuve, associée à la fraude vaccinale de Gates, a incité l’armée à lancer une chasse à l’homme mondiale pour retrouver le nerd socialement maladroit mais impitoyablement dangereux.
Des sources ont déclaré à RRN que l’épouse de Gates, Melinda, avait joué un rôle crucial dans son arrestation.
« Au départ, elle était réticente à coopérer pleinement, car elle pensait que la connaissance de son implication pourrait mettre en péril la fortune qu’elle vise à obtenir du règlement du divorce, dont la majeure partie n’a pas été versée.
Mais le JAG dispose de preuves prouvant qu’elle avait connaissance du trafic d’enfants et lui a dit qu’elle serait inculpée aux côtés de Bill si elle ne coopérait pas. Il s’est avéré que Bill lui avait envoyé des courriels chiffrés qu’elle seule pouvait décoder. Il voulait se réconcilier. L’armée a utilisé cela à son avantage », a déclaré notre source.
Melinda a fini par lui répondre, ajoute notre source, et a accepté une rencontre.
Elle a demandé à Bill de lui indiquer l’heure et le lieu. En réponse, Bill Gates a suggéré une maison qu’il avait possédée à Myrtle Beach. Bien que les militaires aient surveillé toutes les propriétés connues de Gates, la maison de Myrtle Beach avait échappé à leur attention, car Gates l’avait achetée sous un faux nom.
Lorsque Gates s’est présenté, les Marines l’attendaient, selon notre source.
Il a été placé en garde à vue et est actuellement détenu dans un lieu inconnu en attendant d’être transporté à Guantanamo Bay, a ajouté notre source.
QU’EN PENSE JÉSUS DE LA RELIGION UNIQUE MONDIALE ?
VOUS L’APPRENDREZ DANS CE MESSAGE DONNÉ A LA RELIGIEUSE SŒUR BEGHE !
SŒUR BEGHE EST CONNUE PAR SES NOMBREUX LIVRES ÉDITÉS PAR LES ÉDITIONS RÉSIAC..
( Message du Jeudi 1er juillet 2021 )
LA SIGNATURE DE DOCUMENTS POUR LA PAIX HUMAINE AVEC DES RELIGIONS QUI NE SONT PAS CATHOLIQUES EST UN OUTRAGE A DIEU ..
LE DOCUMENT SIGNÉ EN FÉVRIER 2019 AUX ÉMIRATS ARABES UNIS, PAR LE PAPE ET LE GRAND IMAM D’AL-AZHAC » POUR LA PAIX DANS LE MONDE et LA COEXISTENCE COMMUNE : CETTE PAIX N’EST PAS CELLE DE JÉSUS -CHRIST , SELON SES PROPRES PAROLES .
LE PAPE A COMMIS UNE ERREUR EN CE SENS QU’IL N’ÉTAIT PLUS DANS SA MISSION DE VICAIRE DU CHRIST..
( Un enseignement de JÉSUS donné à SŒUR BEGHE le Jeudi 1er juillet 2021 )
LES PORTES DE L’ENFER NE PREVAUDRONT PAS !
Quand J’étais sur la terre, J’ai prêché, J’ai enseigné, J’ai expliqué. J’ai découvert aux hommes les mystères de Dieu, Je leur ai découvert la loi de Dieu.
Le démon ayant envahi le monde, il avait mis la rancœur dans le cœur des hommes, l’inimitié, la concurrence déloyale, la jalousie et les 7 péchés capitaux (l’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, l’impureté, la gourmandise, la paresse) qui sont la source de beaucoup de fautes. Les hommes ne savaient plus quelle était l’échelle des valeurs et ils confondaient souvent la vertu et le vice. Ainsi, défendre l’honneur était considéré comme un bien alors qu’il découle souvent d’un orgueil blessé.
La loi de Dieu découverte aux hommes par le décalogue devait être rehaussée par la connaissance de la vertu, qui dépasse les interdits. Je leur ai donné cette connaissance, celle d’aimer le prochain alors que celui-ci peut être mal-aimé. J’ai montré l’exemple en faisant du bien à tous les pécheurs, Mes frères, qui M’entouraient, Je les ai guéris, Je les ai absous, Je les ai encouragés. Je leur donnais Ma Parole et Ma bénédiction et ils étaient avides de Mes dons. Le peuple était enflammé par Mes Paroles, un prophète leur était donné et Ma présence les transportait et les rendait meilleurs.
Quand Je fus exécuté, flagellé et puis crucifié, ils en furent déroutés et, plus tard, lorsque les apôtres furent confirmés en l’Esprit Saint, il n’y eut plus d’atermoiement, ils revinrent en force et furent parmi les premiers chrétiens de Mon Eglise.
Ainsi en sera-t-il à la fin des temps. Les chrétiens seront déroutés parce que l’Eglise, à son tour, sera bafouée et corrodée, elle vacillera sans personne pour la relever. Les chrétiens fidèles garderont la foi, l’espérance et la charité, mais les autres, ceux qui auront suivi l’Eglise dans sa chute, seront abasourdis et remplis de déception. Ils ne comprendront pas ce qui leur semblera être une fin de cycle, une fin de la chrétienté, une fin de deux mille ans de stabilité et d’essor planétaire. Ils ne comprendront pas que cette chute sera celle des représentants infidèles de l’Eglise et des traîtres à l’enseignement de leur Maître, le Seigneur Jésus-Christ. Or tout ce qui n’est pas de Lui est appelé à disparaître.
LesDix Commandements de Dieu sont oubliés, les prêtres ne les enseignent plus dans les églises, la primauté de l’Eglise catholique est intangible, elle n’est pas l’égale des autres religions teintées d’erreurs ou fausses, elle doit enseigner et non dialoguer, elle doit convertir à elle au lieu de laisser les consciences faire leurs propres lois.
L’Eglise est une société hiérarchique et Jésus-Christ à donné l’ordre à Pierre de fortifier ses frères dans la foi. C’est lui qui doit, en premier, s’attacher à Jésus-Christ et conforter ses frères et les peuples dans Sa Loi. Il ne doit pas se comporter en mercenaire et promulguer des permissions qui entraînent les âmes à la perdition.
La Sainte messe Catholique latine est à préserver comme la perle la plus précieuse de l’univers et voici qu’elle vient d’être interdite au sein même de la basilique Saint Pierre à Rome, centre de la catholicité. « Rome perdra la foi » dira la très sainte Vierge Marie à La Salette en 1846. Interdire le saint Sacrifice de la Croix, la Rédemption de l’humanité au sein même du Siège des successeurs de saint Pierre est un affront exceptionnel à Dieu et à Ses saints.
Cette interdiction sonne déjà le glas de ce qu’était la sainte Eglise catholique et romaine, elle manifeste la dérive de Ses représentants et le château de cartes qu’ils représentent encore en son sein s’écroulera comme un immeuble sans fondation.
Ce temps est proche, Mes enfants, mais ne soyez pas troublés car Ma sainte Eglise demeurera toujours. La foi catholique a toujours été exigeante, fondée sur le roc, et sa moralité inchangée à travers les siècles. « Le ciel et la terre passeront mais Mes paroles ne passeront point » (Mt 24, 35).
Le sacrement de mariage a été institué par Jésus-Christ Lui-même qui, par Sa présence à Cana, a béni le mariage et y a effectué Son premier miracle. La relation matrimoniale et tout ce qui s’ensuit, la naissance des enfants, leur éducation et leur développement sont réservés aux époux.
Toute autre union qui copie la seule union voulue par Dieu est immorale et un grand péché. Quand des représentants de la sainte Eglise catholique se veulent conciliants envers toute autre forme d’union, ils scandalisent, ils pèchent gravement et ils trahissent leur mission de représentants de Jésus-Christ.
La signature de documents pour la paix humaine avec des religions qui ne sont pas catholiques est un outrage à Jésus-Christ qui a dit : « Je vous laisse la paix, Je vous donne Ma paix, Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. » (Jn 14, 27). La paix dans le monde découle de la paix que donne le Seigneur Jésus, celle qui n’est pas du monde, celle qui vient de l’obéissance et de la foi en Sa Parole. Toute paix mondaine qui ne trouve pas sa source en la paix que donne le Christ Jésus, est une paix du monde ; elle n’est pas celle que J’ai promise et que Je donne réellement à ceux qui Me suivent.
Le document signé en février 2019 aux Emirats Arabes Unis par le pape et le grand Imam d’Al-Azhac « pour la paix dans le monde et la coexistence commune », fait partie de la paix que le monde donne et qui n’est pas celle de Jésus-Christ selon Ses propres paroles. La paix que donne le monde est une paix diplomatique tandis que celle que Je donne est durable et débouche sur la vie éternelle, parce qu’elle concerne l’âme avant le corps. Le pape a commis une erreur en ce sens qu’il n’était plus dans sa mission de Vicaire du Christ mais il a agi comme un ambassadeur d’une religion considérée égale à une autre religion. Telle n’est pas sa mission et ce fait est regrettable et nuisible à la Vérité unique et absolue.
Je reviendrai bientôt parce que J’ai promis que les portes de l’enfer ne prévaudront pas. Je reviendrai pour redresser ce qui est tordu, pour remettre la Vérité à Sa place d’honneur, pour asseoir sur le siège de Pierre le successeur désigné par Dieu et non par l’ambition de renégats. Oui, ceux qui se sont dénommés eux-mêmes le groupe ou la « mafia » de Saint-Gall, sous l’égide de l’évêque de Saint-Gall en Suisse, se sont entendus pour présenter leur candidat au dernier conclave, lequel, fort de leur influence, fut élu. Ceci n’est plus un fait caché, il est notoire et c’est pourquoi, Moi, Jésus-Christ, Je demande à Mon crayon de ne plus taire ce fait.
Lorsque l’influence du Saint Esprit est court-circuitée au sein d’un conclave, l’élu n’est pas Son candidat et s’il travestit ensuite sa mission, tout ce qui s’ensuit est la suite humaine d’une volonté humaine.
Je laisse les hommes aux conséquences de leurs fautes, mais lorsque la coupe sera pleine, Je permettrai que le château de cartes s’écroule emportant une partie de l’humanité à sa suite. Les innocents seront récompensés dans le Ciel et les autres, triés par les anges de Dieu, entreront dans le monde nouveau. Je reste et demeure le Maître de la vie et de la mort, Créateur de toutes choses et rien ne se passe en dehors de Ma volonté tant sur la terre que dans le Ciel.
Priez, Mes enfants, priez beaucoup parce que « le démon tel un lion rugissant rôde, cherchant qui dévorer » (1 P 5, 8). Les temps sont mauvais, le péché est partout, les lois sont néfastes et les hommes impies. Ne soyez pas de ceux-là, vous êtes Miens, et Je vous veux avec Moi dans le Ciel.
Je vous bénis et Je vous aime, soyez en paix, fervents et dévoués.
SOYEZ SUR VOS GARDES EN TOUS TEMPS, RESTEZ LES YEUX OUVERTS,MON ÉGLISE VA ÊTRE DÉCIMÉE BRIQUE PAR BRIQUE !
Le paganisme sera imposé dans toutes les Églises de Dieu !
Ma chère fille bien-aimée, dites au monde que les gens doivent se sortir de leur torpeur. S’ils ne le font pas, ils ne pourront pas voir les plans diaboliques dont J’ai parlé il y a quelque temps se dérouler devant eux.
Je parle de la domination mondiale orchestrée pour détruire le Christianisme.
Mon Église va être décimée brique par brique. Mes serviteurs sacrés seront poussés au-delà de leur endurance, de façon délibérée.
Mon Église sera également profanée par ceux qui pratiquent l’adoration de la bête. Ces imposteurs fourbes ne sont pas Chrétiens. Ils pratiquent l’occultisme et infiltrent tous les organismes, y compris différentes églises et différentes religions.
Ils ciblent en particulier l’Église Catholique. C’est cette Église qu’ils haïssent le plus. Leurs mensonges sont destinés à embarrasser les Catholiques afin qu’ils ne cherchent pas à défendre leur Église.
Leurs mensonges posent de grandes difficultés aux églises Chrétiennes pour défendre les Saints Sacrements établis par Dieu.
Le paganisme sera imposé dans toutes les Églises de Dieu et malheur à celui qui luttera pour défendre la Vérité de Dieu.
Le moment est venu de la division de l’humanité. Je viendrai diviser la Terre.
Ceux qui sont fidèles à Mes Enseignements seront amenés dans Mon Sein. Ceux qui défient Dieu et blasphèment contre la Vérité seront rejetés.
La bataille a déjà commencé. Elle sera bientôt manifeste.
Il y a encore du temps pour choisir entre les mensonges de ce groupe satanique, qui vient habillé de peaux d’agneaux, et la Vérité dont ils vous diront que c’est un mensonge.
Soyez sur vos gardes en tout temps. Restez les yeux ouverts. Détournez-vous lorsque Mon Nom, Mon Corps, Ma Parole font l’objet de blasphèmes.
CETTE NOUVELLE RELIGION MONDIALE UNIQUE RENDRA HOMMAGE A LA BÊTE , VOUS NE RECONNAÎTREZ PLUS MES ENSEIGNEMENTS, LE FAUX PROPHETE SERA LE CERVEAU DE TOUT CELA !
Ma chère fille bien-aimée, beaucoup d’âmes sont vigilantes en cette période, car elles voient les changements rapides qui commencent à se manifester dans Mon Église Catholique.
Ces signes montrent tout ce que J’ai prophétisé à travers vous. Le manque de Messes est visible. La Sainte Eucharistie n’est plus accessible facilement. Le Sacrement de Confession est limité dans beaucoup de Mes Églises.
Un grand nombre de Mes Églises n’ont pas de prêtre pour les diriger. Les gens qui désertent Mes Églises sont si nombreux en cette période de tribulation que, bientôt, ces Églises seront reprises par des commerçants. Puisque la foi des Chrétiens est mise à l’épreuve, il est important, en conséquence, de continuer à prier Ma Croisade de Prières. Bientôt, de nouveaux serviteurs seront introduits dans les Églises Catholiques et les autres églises Chrétiennes.
Les différences religieuses seront estompées dans un premier temps. Puis, après une courte période, vous ne reconnaîtrez plus Mes Enseignements car ils auront subtilement disparu. Ils seront remplacés par une série de déclarations vagues, mais poétiques, en faveur de la tolérance du péché.
Ces mensonges, présentés aux pratiquants sans méfiance, ne seront pas remarqués au début. Puis, un sentiment profond et troublant que quelque chose ne va pas hantera Mes disciples.
La dernière mystification sera le remplacement des Saints Sacrements par des substituts païens.
Le faux-prophète sera le cerveau de tout cela. Il proclamera être le grand prêtre de toutes les religions combinées en une seule. Cette nouvelle religion mondiale unique rendra hommage à la bête. Tous ceux qui suivront aveuglément seront dévorés par la bête et perdus pour Moi à jamais. La rapidité avec laquelle cela arrivera va stupéfier Mes disciples. Le plan est soigneusement organisé. La campagne pour convertir les Chrétiens hostiles à accepter des lois laïques, est orchestrée de manière professionnelle.
Tout est planifié, parmi beaucoup de nations, par un seul groupe qui utilise des personnalités, des célébrités et des prête-noms, tous respectés par la majorité, pour endosser leurs mensonges diaboliques. Soyez sur vos gardes. N’acceptez pas les mensonges. Ne vous impliquez pas dans ce plan qui profanera Mon Saint Nom.
MES ENFANTS QUI ME LISEZ, C’EST A VOUS AUJOURD’HUI QUE JE M’ADRESSE !
( Un Enseignement donné à Sœur BEGHE Samedi 31 juillet 2021 )
A vous, fils adoptifs de Dieu
Mes enfants qui Me lisez, c’est à vous aujourd’hui que Je veux M’adresser. A vous, à vous, et encore à vous dont les yeux parcourent ces lignes en cet instant précis. Vous êtes jeune, moins jeune ou plus jeune, mais pour Moi, vous êtes Mon enfant, quel que soit votre âge.
Lorsque vous serez avec Moi au Ciel, vous serez éternellement dans la beauté de l’âge arrivé à son plus juste état, et vous sourirez parce que vous serez pleinement heureux. Oui, vous sourirez et Je vous fais une demande : souriez déjà, soyez toujours souriant, amène, accessible, parce que J’étais ainsi sur la terre et, au Ciel, Je le suis toujours.
Mes saints sont eux aussi excessivement accessibles, il semble qu’on ne les dérange jamais en les interrompant dans leurs occupations et ils sont toujours prêts à donner de leur temps, même quand il apparaît qu’ils n’en ont pas de disponible. Mes saints sont à Mon image, ils Me donnent beaucoup de joie et Je Me complais au milieu d’eux. Ils Me sourient et ils Me mettent du baume au cœur.
C’est ainsi, Mes enfants, que vous devez être entre vous, toujours accueillants, toujours disposés à écouter, toujours présents et toujours accessibles. Quand un ami vous aborde, vous l’accueillez agréablement et c’est ainsi que vous devez être à l’égard de tous vos semblables. Ils sont vos frères en humanité et vous êtes à l’image et à la ressemblance de Jésus-Christ, qui n’a jamais dédaigné personne, qui n’a jamais repoussé qui que ce soit. Jésus-Christ a drainé vers Lui Israël tout entier et les autorités juives en ont été d’une très grande jalousie. Mais vous, à l’image de votre Maître et Seigneur, accueillez vos semblables, ne les repoussez pas. Ne soyez pas jaloux de ceux qui semblent réussir mieux que vous ; ce serait semblable à l’attitude des scribes et des pharisiens juifs du temps de la venue de votre doux Seigneur.
Je n’étais pas venu M’imposer, non, certainement pas, mais vous attirer tous à Dieu dont Je suis le Verbe éternel. Je vous ai donné l’exemple de la générosité, de la modestie, de l’ardeur au travail missionnaire et de l’esprit de foi. Qu’est-ce que l’esprit de foi ? C’est voir toute chose sous l’angle divin, faire toute chose pour plaire à Dieu et prier pour Lui être semblable et dévoué en tout.
Voyez la vie des saints, comme ils ne paressaient pas, comme la vie leur était précieuse pour apporter Dieu où qu’ils allassent et pour instruire leurs frères afin qu’ils deviennent de bons chrétiens, assidus et très croyants. C’est ainsi que vous devez agir, vous aussi, suivant en tout l’exemple du Fils de Dieu et surtout ne dites jamais « n’exagérons pas » ! Au contraire, donnez tout votre temps à servir Dieu par votre devoir d’état, par votre devoir d’époux ou d’épouse, de parent, de collègue, d’employé ou de supérieur, de chrétien et fier de l’être. Oui, être fils de Dieu par adoption, c’est-à-dire par le baptême, vous donne des devoirs dus à votre rang de fils du Très Haut et vous devez ressembler à votre Père éternel comme vous pouvez ressembler à votre père ou à votre mère de la terre. La ressemblance à votre père ou mère de la terre est physique et morale, et celle à votre Père céleste est semblable : physique et morale.
L’homme créé à l’image et à la ressemblance de Dieu (Gn 1, 27) reçut la grâce de Lui ressembler et s’il perdit par le péché originel la grâce sanctifiante dans laquelle il avait été placé, par le baptême et les six autres sacrements, la grâce lui fut rendue de manière sacramentelle et non plus innée. Cette grâce place l’enfant de Dieu dans cet état de ressemblance physique et morale qu’il ne lui faut perdre sous aucun prétexte.
Gardez cette ressemblance, chérissez-la et respectez-la. Elle est votre grandeur, votre beauté et votre dignité. Sans elle, vous perdriez votre filiation d’adoption, vous seriez comme un orphelin ou un pauvre enfant abandonné qui ne sait rien de lui-même et qui peut être enlevé et exploité par tout adulte mal intentionné. C’est ainsi qu’agit le démon, il profite de l’ignorance religieuse ou de la négligence à s’y référer pour soudoyer les âmes et les faire périr par haine de Dieu et des hommes. Ne vous laissez pas prendre par lui mais accrochez-vous à Moi, votre Frère et votre Dieu, imitez-Moi et ne vous en lassez jamais.
Que Dieu vous bénisse, Il vous aime, Il vous a créé pour Lui, pour le bonheur parfait et éternel et Je vous dis : vous êtes à Moi, soyez-le donc vous aussi pleinement et pour toujours.
VOICI L’HEURE FATALE QUI ARRIVE SUR CETTE TERRE , NE VOUS INQUIÉTEZ PAS DE CE QUE DEMAIN VOUS RÉSERVE MES ENFANTS, car, JE SUIS L’ÉTERNEL DIEU D’AMOUR, JE SUIS LE CRÉATEUR, JE VOUS DONNERAI TOUT , JE VOUS RENDRAI HEUREUX !
( Message Carbonia 28bis-07-2021 )
Sainte Marie dit : Me voici, Je suis venue parmi vous, Je vous bénis : Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Mes enfants bénis, avancez avec force !
Ayez foi en Mon Fils Jésus-Christ, ayez de l’Amour entre vous, soyez un seul cœur une seule âme.
Le temps qui vient est un temps féroce mais ! Celui qui sera du côté du Seigneur sera protégé par LUI.
Aujourd’hui Je viens vous communiquer un événement spécial Mes enfants, Je viens vous faire l’annonce que bientôt Jésus sera parmi vous, … Vous Le verrez en Chair et en Os, Vous Le toucherez comme Thomas, Vous Le reconnaîtrez lorsque vous mettrez le doigt sur Sa Chair.
Mes enfants, voici l’heure fatale qui arrive sur cette Terre !
La bataille acharnée arrive contre l’ennemi infernal qui, déchaîné, tente de détruire tout ce qui appartient au Christ Jésus, en particulier Ses enfants, qui lui sont si chers. De Son Cœur coule encore du Sang à cause de : Ce qui s’en vient sur cette Humanité , désormais perdue entre les mains de l’ennemi infernal, une Humanité qui, dépourvue de Dieu, de son Bouclier, va vers la mort éternelle. L’homme s’est illusionné qu’il peut faire de grandes choses par lui-même.
Cette Humanité cherche sa protection dans des vaccins qui sont : des poisons, des poisons mortels Mes enfants. Il n’y a pas d’antidote pour ces vaccins, ce ne sont pas des vaccins Mes enfants, ils sont votre destruction, votre mort.
Aujourd’hui, le Seigneur vous dit de tout Son cœur : Mes enfants, Vous qui avez été mis à rude épreuve, …Vous qui avez été pénalisés : « Implorez-MOI pour votre guérison : par la prière, implorez Jésus, implorez Ma Miséricorde, afin que ce poison soit anéanti.
Mais! Pour cela, il vous faut une grande foi, une foi qui déplace des montagnes, un véritable grand Amour pour votre Seigneur Christ et une grande prosternation envers LUI.
Mes enfants ! Renoncez à tout dans ce monde : « TOUT ce qui vous éloigne de votre Dieu d’Amour », renoncez à votre propre vie pour votre salut afin que vous puissiez entrer dans la vie éternelle, dans un monde nouveau, que le Seigneur Jésus-Christ vous ouvrira bientôt avec tout Son Amour, .. .Un monde où IL vous placera : pour profiter de tout Son Bien.
Ne vous inquiétez pas de ce que demain vous réserve Mes enfants, car JE SUIS L’ÉTERNEL DIEU D’AMOUR, JE SUIS LE CRÉATEUR, JE vous donnerai:TOUT de nouveau, … Je vous rendrai heureux pour toujours.
Ne renoncez pas au salut de votre âme, ne renoncez pas au salut éternel, Dieu est avec vous Mes enfants, Dieu vous aime infiniment et Veut vous ramener à LUI, Il veut que vous profitiez d’un monde céleste, d’un monde nouveau, fait uniquement de bonnes choses. Son Univers vous attend, tout sera connu de vos yeux, tout sera beau lorsque vous vivrez en LUI et, regarderez les choses de l’Univers à travers Ses yeux.
Comme toujours, JE vous laisse avec votre Sainte Mère, sur cette colline bénie que J’aime d’une manière particulière, où JE manifesterai bientôt Ma grandeur.
Allez Mes enfants, ici tout doit se renouveler, tout doit briller. Dieu doit demeurer dans cet endroit ( cette colline ) sur cette terre !
Je vous embrasse tous Mes enfants et, Je vous bénis : Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Sainte Marie dit : Loué soit Jésus-Christ.
Soyez toujours félicités.
Loué soit Jésus-Christ.
Soyez toujours félicités.
Loué soit Jésus-Christ.
Soyez toujours félicités. C’est ainsi que crie votre Mère Céleste et, vous Mes enfants : CRIEZ ainsi toujours ! A tout moment, écoutez-LE.
Lisez le Saint Évangile Mes enfants, le Saint Évangile est la Parole de Jésus, les Saintes Écritures sont votre enseignement. Prenez exemple sur ce que les prophéties ont prédit pour ces temps, ne faites pas les mêmes erreurs que les hommes anciens, mais prenez en considération l’annonce des prophètes et vivez selon la Loi de Dieu et non de l’homme.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.