
UNE PRÉFIGURATION DE LA MARQUE DE LA BÊTE !
Grand entretien avec Monseigneur Athanasius Schneider sur le passe sanitaire : « Une préfiguration de la marque de la Bête »
Monseigneur Schneider fait la relation entre le passe sanitaire et la tyrannie communiste !
MONSEIGNEUR Athanasius Schneider appelle à la résistance !
Voilà qui tranche avec le discours officiel ambiant, qu’il soit politique, médiatique… ou religieux ? Se faire « vacciner » contre le COVID serait, nous dit-on, un acte de charité. Imposer ouvertement l’injection Spike par une obligation vaccinale, ou indirectement par un « passe sanitaire » serait, nous dit-on encore, une réponse correcte du pouvoir à une exigence du bien commun de la santé.
La revue des Jésuites des Etats-Unis, America Magazine, vient même de publier un article qualifiant le refus du « vaccin » anti-COVID du « pire des péchés d’omission » pour les catholiques d’aujourd’hui. Et même des catholiques en vue dans le mouvement traditionnel en viennent à tenir cette sorte de propos, accusant de « libéralisme » et d’« individualisme » ceux qui invoquent les libertés individuelles pour dire leur refus du « vaccin ».
Mgr Schneider n’est pas de ceux-là. Il se fonde à la fois sur le caractère immoral des injections anti-COVID actuellement autorisées en Europe, toutes développées d’une façon ou d’une autre à l’aide de lignées cellulaires obtenues à la suite d’avortements pratiqués aux fins de les obtenir, et sur la liberté et la dignité des êtres humains, maîtres de leur corps et responsables de leur santé.
A l’heure où tant de Français se lèvent pour dire « non » aux nouveaux dictateurs, Mgr Schneider leur apporte un vrai réconfort. Car c’est un entretien plein d’espérance surnaturelle. – J.S.
( QUESTION POSE A MONSEIGNEUR SCHNEIDER )
Excellence, le gouvernement français a mis en place l’obligation vaccinale pour les professions de santé et toutes les personnes qui travaillent avec les personnes âgées. Cela va des pompiers aux assistants à domicile. Il y a une très forte mobilisation contre cela.
Aux autres personnes, le gouvernement impose un passe sanitaire ; pour en disposer les non vaccinés doivent se faire tester et avoir un test valide depuis moins de 72 heures pour prouver qu’ils ne sont pas positifs au COVID-19. En fait il s’agit de les empêcher de vivre normalement puisque, sans ce test, qu’il faudrait refaire tous les trois jours, on n’a pas accès aux grands centres commerciaux, aux cafés, aux restaurants, à un grand nombre d’hôtels, aux concerts, aux cinémas… Heureusement les églises sont exclues ce dispositif, mais la visite à une personne qui est à l’hôpital est interdite sans passe, ainsi que le fait d’accéder à l’hôpital pour des soins non urgents. Avec l’exigence de ce QR code, on fait en réalité du non vacciné un paria, qui est menacé de très forte amendes à chaque écart. Que pensez-vous de ce type de mesures ?
( Réponse de MONSEIGNEUR SCHNEIDER )
Je pense que cela va fondamentalement à l’encontre des droits de l’homme et de la dignité humaine, car comme vous l’avez dit, deux classes de personnes seront établies dans la société, et ceux qui ne sont pas vaccinés finiront par ne pas avoir les mêmes droits que les autres. Cela signifie que ces personnes deviendront comme des esclaves parce qu’elles n’ont aucun droit : substantiellement, elles n’ont aucune liberté. Je considère que c’est très dangereux d’établir une société avec deux classes de personnes. Comme je l’ai dit, cela est fondamentalement contraire aux droits de l’homme et à la dignité humaine : nous revenons aux sociétés du totalitarisme. Nous ne connaissons que trop ces systèmes totalitaires où certaines personnes, pour diverses raisons, raciales ou autres, étaient marquées d’un signe extérieur, et n’avaient pas les mêmes droits civils que les autres.
Il s’agit donc d’un phénomène vraiment dangereux. Nous nous en approchons actuellement sous le prétexte de mesures sanitaires et de soins de santé. Ce n’est qu’un prétexte car il n’y a pas de preuve certaine que la vaccination soit réellement efficace pour prévenir la contamination par le COVID.
Il existe même des cas avérés – il ne s’agit pas d’une théorie du complot – de personnes dont les dossiers et les noms sont vérifiables, qui ont contracté le virus alors même qu’elles avaient été vaccinées contre le COVID ; elles ont été testées positives et, dans certains cas, leur état de santé s’est même aggravé. Le fait que de tels cas existent déjà devrait être un signe que cette vaccination ne peut pas être une exigence absolue, et que nous devons donc protester contre ces violations évidentes des droits fondamentaux, et même contre ces violations de preuves existantes.
Lorsque notre société se transforme en un lieu où les preuves sont simplement niées, c’est le signe que nous sommes dans une dictature, car seul un système politique dictatorial nie les évidences afin de promouvoir son programme. Il est clair qu’il existe un programme visant à vacciner toute la population afin d’atteindre un objectif politique, social ou idéologique concret.
Le Tribunal constitutionnel espagnol, saisi d’une question sur l’obligation vaccinale théorique, a décidé il y a un peu plus d’un mois que, pour quelque vaccin que ce soit, y compris dans le cas d’une forte épidémie, une telle obligation ne peut pas être jugée conforme à la Constitution. Qu’en pensez-vous ?
C’est au moins une bonne nouvelle : personne ne peut être contraint par un gouvernement à se faire vacciner. Une décision similaire a été adoptée par le Conseil de l’Europe. C’est déjà un bon signe car si le gouvernement a le pouvoir absolu de vous contraindre, et de dire comment doit être votre corps, alors vous perdez le dernier élément de votre vie privée, car votre corps vous appartient. Avec cette vaccination forcée, le gouvernement déclare, non pas en théorie mais de facto, que c’est lui qui deviendra le propriétaire de votre corps. Pour moi, c’est l’expression ultime du communisme extrême, car le communisme vise à dire que tout appartient à l’État, comme les moyens de production et ainsi de suite – l’éducation, la famille, tout y est commun. Mais à présent, même le corps, votre propre corps, devient la propriété de l’État.
Les communistes avaient déjà commencé à arracher les enfants à leurs propres parents, afin de les emmener dans des camps d’éducation, lorsque les parents n’obéissaient pas à l’idéologie de l’État. Ces parents ont été privés de leurs enfants ! Aujourd’hui, certains pays d’Europe occidentale font de même, en retirant les enfants à leur famille lorsque celle-ci s’oppose à l’enseignement de l’idéologie du genre dans les écoles. Nous assistons maintenant à quelque chose de similaire avec la vaccination forcée de facto.
Lorsque vous devez avoir ces passes verts en passant des tests tous les trois jours, il s’agit d’une violation pratique des droits, très astucieuse et cynique, visant à forcer les gens à se faire vacciner. Je me demande : maintenant que le Conseil de l’Europe et le Tribunal espagnol ont rendu cette décision disant que l’État n’a pas le droit d’obliger une personne à se faire vacciner, les gouvernements vont-ils appliquer ces décisions ?
Qui aura le pouvoir de nous donner la garantie que ces décisions seront appliquées ? Mais au moins, c’est un début.
( QUESTIONS A MONSEIGNEUR SCHNEIDER )
En France, il existe déjà onze vaccins obligatoires pour les enfants de moins de deux ans, tel le vaccin contre la rubéole dont on sait que plusieurs références sont fabriquées à partir de cellules obtenues par avortement. Or ces vaccinations ne sont pas associées à un passe sanitaire ou à un QR code.
Pensez-vous qu’avec l’imposition d’un QR code, nous entrons dans quelque chose de différent ?
(RÉPONSE )
Bien sûr, parce que par là, vous êtes complètement contrôlé. Vous n’avez plus aucune liberté, même en ce qui concerne l’intimité de votre corps. Les informations sur votre corps sont dans ce code, donc oui, c’est une différence substantielle, et donc nous devons protester contre ce code qui affectera la vie privée du corps.
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