
UN MOINE BOUDDHISTE REVENU DE LA MORT ( Ce témoignage lui a coûté de la prison )
Témoignage remarquable d’un MOINE BOUDDHISTE :Athet Pyan Shinthaw Paulu en Myanma (Birmanie) , qui est revenu à la vie, en rencontrant JÉSUS !
Cet homme est celui que vous adorez GAUTAMA (BOUDDHA), il est en enfer .
( Voir la photo Athet Pyan Shinthaw Paulu )
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L histoire d Athet Pyan Shinthaw Paulu Le moine a vu le Bouddha en Enfer !
( Ce témoignage très, très long se fera en 3 partie, dans la 3ème, il nous dira que BOUDDHA est en enfer )
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L’histoire qui suit est simplement la traduction d’un témoignage d’un homme dont la vie a été transformée. Nous avons été informés de cette histoire par plusieurs dirigeants d’églises birmans qui l’ont partagée avec nous. Ces leaders ont examiné cette histoire et n’ont pas trouvé la moindre suggestion que cela soit un canular. C’est avec cet esprit que nous avons décidé de franchir le pas et de faire circuler cette histoire. Nous ne le faisons pas pour de l’argent, ou avec la motivation de faire notre promotion. Nous voulons juste laisser l’histoire parler d’elle-même, et inviter les chrétiens à la juger selon les Écritures.
Si Dieu veut qu’une quelconque partie de ce récit soit destinée à Sa Gloire ou pour encourager Son peuple, alors nous prions que Son Esprit travaille dans les cœurs des lecteurs dans ce sens.
Quoique vous en pensiez, le simple fait reste que les événements de cette histoire ont radicalement transformé cet homme et sa vie a pris un tournant à 180° après les événements qui sont décrits plus bas. Il a raconté son histoire sans peur et avec courage et cela lui a beaucoup coûté, y compris de la prison. Il a été méprisé par ses relations, ses amis et ses collègues, et a dû faire face à des menaces de mort devant sa mauvaise volonté pour faire des compromis dans son message.
Qu’est ce qui a motivé cet homme a tout risquer ?
Que vous le croyez ou non, son histoire est sûrement digne d’être entendue et considérée.
Mon nom est Athet Pyan Shinthaw Paulu…
Je suis originaire de Myanma. Je voudrais vous partager le témoignage de ce qui m’est arrivé, mais en premier lieu, je voudrais vous donner un bref aperçu de ma vie.
Je suis né en 1958 dans la ville de Bogale, dans la région du delta Irraounddi dans le sud du Myanma (ex Birmanie).
Mes parents, qui étaient des bouddhistes dévoués comme la plupart des gens au Myanma, m’ont appelé Thitpin (ce qui veut dire « arbre »). Nos vies étaient très simples là où j’ai grandi. A l’âge de 13 ans j’ai quitté l’école et j’ai commencé à travailler sur un bateau de pêche. Nous pêchions des poissons et des crevettes dans les nombreuses rivières et les fleuves de la région de l’Irraounddi. A l’âge de 16 ans, je suis devenu le chef du bateau. A ce moment je vivais dans l’île de Mainmahlagyon (qui signifie « l’île de la belle femme »), c’est juste au nord de Bogale où je suis né.
Cet endroit est à peu près à 100 miles au sud-ouest de Yangoun (ex Rangoon), notre capitale. Un jour, quand j’avais 17 ans, nous avons attrapé un grand nombre de poissons dans nos filets, un grand crocodile a été attiré vers nous. Il a suivi notre bateau et a essayé de nous attaquer. Nous étions terrifiés et nous avons ramé vers les berges de la rivière aussi vite que nous avons pu. Le crocodile nous a suivi et a fracassé notre bateau avec sa queue.
Bien que personne ne soit mort dans cet incident, l’attaque a grandement affecté ma vie. Nous avons dû retourner dans notre village dans un bateau de voyageurs.
Peu de temps après, les employeurs de mon père l’ont muté à Yangoun.
A l’âge de 18 ans j’ai été envoyé dans un monastère bouddhiste pour être un moine novice. La plupart des parents en Myanma essayent d’envoyer leur fils dans un monastère bouddhiste, au moins pour un temps, car c’est un grand honneur d’avoir un fils qui sert de cette manière. Nous avons observé cette coutume depuis plusieurs centaines d’années.
JE FÛT UN DISCIPLE ZELE DE BOUDDHA !
Quand j’ai eu 19 ans et 3 mois (en 1977), je suis devenu un moine normal. Le moine supérieur dans mon monastère m’a donné un nouveau nom bouddhiste, ce qui est la coutume dans notre pays. J’étais dorénavant appelé U Nata Pannita Ashinthuriya. Quand vous devenez moine, vous n’utilisez plus le nom qui vous a été donné à votre naissance par vos parents. Le nom du monastère où je vivais s’appelle Mandalay Kyaikasan Kyaing.
Le nom du moine supérieur était U Zadila Kyar Ni Kan Sayadaw (U Zadila est son titre). Il était le moine bouddhiste le plus célèbre en Myanma à cette époque. Tout le monde savait qui il était. Il était grandement honoré par les gens et respecté comme un grand enseignant. Je dis qu’il « était » car en 1983 il est mort dans un accident de voiture. Sa mort a choqué tout le monde. A ce moment j’étais moine depuis 6 ans. Je faisais de gros efforts pour être le meilleur moine que je puisse être et pour suivre les préceptes du bouddhisme.
A une époque, j’ai déménagé dans un cimetière où je vivais et je méditais continuellement. Certains moines qui veulent réellement connaître les vérités de Bouddha font des choses comme moi. Certains s’enfoncent profondément dans les forêts où ils vivent une vie de pauvreté et de reniement.
Je cherchais à rejeter mes pensées égoïstes et mes désirs, pour échapper à la maladie et à la souffrance et pour me libérer du cycle de ce monde. Dans ce cimetière je n’avais pas peur des fantômes. J’essayais d’atteindre une telle paix intérieure et une réalisation de soi que même quand un moustique se posait sur mon bras, je le laissais me piquer plutôt que de le chasser !
Pendant des années je me suis efforcé d’être le meilleur moine que je puisse être et de ne faire de mal à aucun être vivant. J’ai étudié les saints enseignements bouddhistes comme mes ancêtres l’avaient fait avant moi.
Ma vie ( Moi : Athet Pyan Shinthaw Paulu ) s’est déroulée comme celle d’un moine jusqu’à ce que je sois très, très malade. J’étais à Mandalay à cette époque et j’ai dû être amené à l’hôpital pour suivre un traitement. Les médecins ont fait quelques tests sur moi et m’ont dit que j’avais la fièvre jaune et la malaria en même temps !
Après avoir passé un mois dans cet hôpital, mon état a empiré. Les médecins m’ont dit que je n’avais aucune chance de guérir et ils m’ont renvoyé pour me préparer à mourir. Ceci est une brève description de mon passé.