
COMME L’ÉGLISE ÉTAIT DÉJÀ EN GRANDE PARTIE DÉMOLIE , JE VIS CES DÉMOLISSEURS PÉNÉTRER DANS L’ÉGLISE AVEC LA BÊTE ( l’antéchrist ! )
Je vis l’Église de Saint-PIERRE et une énorme quantité d’hommes qui travaillaient à la renverser, mais j’en vis aussi d’autres qui y faisaient des réparations.
Ils arrivaient au pouvoir et avec influence pour abolir le culte divin ainsi que toutes les pratiques et les exercices de piété !
(( Prophéties d’Anne-Catherine Emmerich pour notre temps
Les visions du futur d’Anne Catherine Emmerich ))
Les démolisseurs de l’Eglise et : Le mystère d’iniquité.
Je vis différentes parties de la terre : mon guide me nomma l’Europe et, me montrant un coin sablonneux, il me dit ces paroles remarquables :
-Voici la Prusse ennemie.
-Il me montra ensuite un point plus au nord, disant :
-Voilà la Moscovie apportant avec elle bien des maux. (A.III.133)
Je vis là Saint Basile et d’autres encore. je vis sur le château aux toits étincelants, le malin qui se tenait aux aguets. (A.II.48)
Je vis que parmi les démons enchaînés par le Christ, lors de sa descente aux enfers, quelques-uns ont été déliés, il n’y a pas longtemps et ont suscité cette secte (Franc-maçonnerie ?). J’ai vu que d’autres seront relâchés de deux générations en deux générations. (19 octobre 1823)
***LA DÉMOLITION DE L’ÉGLISE
J’ai vu des gens de la secte secrète saper sans relâche la grande Église… (A.III.113)
Je vis à un endroit : Avec horreur un grand nombre de gens de ma connaissance, même des prêtres. Beaucoup de lignes et de ramifications partant des gens qui erraient dans les ténèbres aboutissaient à cet endroit. (Le lieu de la nouvelle crucifixion.) (A.II.157)
…et j’ai vu près d’eux une horrible bête qui était montée de la mer. Elle avait une queue comme celle d’un poisson, des griffes comme celles d’un lion, et plusieurs têtes qui entouraient comme une couronne une tête plus grande. Sa gueule était large et rouge. Elle était tachetée comme un tigre et se montrait très familière avec les démolisseurs. Elle se couchait souvent au milieu d’eux pendant qu’ils travaillaient : souvent aussi ils allaient la trouver dans la caverne où elle allait se cacher quelques fois.
Pendant ce temps, je vis ça et là, dans le monde entier, beaucoup de gens bons et pieux, surtout des ecclésiastiques, vexés, emprisonnés et opprimés, et j’eus le sentiment qu’ils deviendraient un jour des martyrs. (A.III.113)
Comme l’Église était déjà en grande partie démolie, si bien qu’il ne restait plus debout que le chœur avec l’autel, je vis ces démolisseurs pénétrer dans l’Église avec la bête.
Une grande femme pleine de majesté. Il semblait qu’elle fut enceinte, car elle marchait lentement : les ennemis furent saisi d’effroi à sa vue et la bête ne put plus faire un pas en avant. Elle allongea le cou vers la femme de l’air le plus furieux, comme si elle eût voulu la dévorer. Mais la femme se retourna et se prosterna la face contre terre. Je vis alors la bête s’enfuir de nouveau vers la mer et les ennemis courir dans le plus grand désordre. (A.III.113)
Je vis l’Église de Saint-Pierre et une énorme quantité d’hommes qui travaillaient à la renverser, mais j’en vis aussi d’autres qui y faisaient des réparations.
Des lignes de manœuvres occupés de ce double travail s’étendaient à travers le monde entier et je fus étonnée de l’ensemble avec lequel tout se faisait.
Les démolisseurs détachaient de gros morceaux ; c’étaient particulièrement des sectaires en grand nombre et avec eux des apostats. Ces gens, en faisant leur travail de destruction, semblaient suivre certaines prescriptions et une certaine règle : ils portaient des tabliers blancs bordés d’un ruban bleu et garnis de poches, avec des truelles fichées dans la ceinture.
Ils avaient d’ailleurs des vêtements de toute espèce : il se trouvaient parmi eux des hommes de distinction, grands et gros, avec des uniformes et des croix, lesquels toutefois ne mettaient pas eux-mêmes la main à l’ouvrage, mais marquaient sur les murs avec la truelle les places où il fallait démolir. Je vis avec horreur qu’il y avait aussi parmi eux des prêtres catholiques. (A.II.202)
Je vis que : AVEC leurs terribles conséquences, les mesures que les propagateurs des lumières prenaient partout où ils arrivaient au pouvoir et à l’influence pour abolir le culte divin ainsi que toutes les pratiques et les exercices de piété, ou pour en faire quelque chose d’aussi vain que l’étaient les grands mots de lumière, de charité, d’esprit, sous lesquels ils cherchaient à cacher à eux-mêmes et aux autres le vide désolant de leurs entreprises où Dieu n’étaient pour rien. (A.III.161)
( Suite et source https://forumarchedemarie.forumperso.com/t8206-propheties-d-anne-catherine-emmerich-po
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