LA REFORME DE LA MESSE » PLAN SECRET DU VATICAN » !

La réforme de la messe, plan secret du Vatican !

Depuis le pape François, Rome n’est plus catholique, c’est à dire que le Vatican n’est plus la religion de Jésus-Christ, Dieu fait homme. Le Vatican est mondialiste, humaniste, écologiste, œcuménique, vaccinaliste même, mais il n’a plus Jésus-Christ comme clé de voûte.

Sa clé de voûte, sa pierre d’angle, c’est la dignité de la personne humaine, la fraternité humaine entre tous les hommes du monde, sans Jésus-Christ pour guide, pour moteur et pour maître.


Il suffit de lire les encycliques ou les exhortations apostoliques du pape François pour découvrir qu’il ignore totalement Jésus-Christ, pour lui préférer un humanisme maçonnique dont il écrit la théologie.
Pour ceux qui ignoreraient encore ce qu’est la Franc-maçonnerie il faut savoir que dès le XVIIIè siècle « des Mgr Conan de Saint-Luc, des Le Franc, des Barruel dénoncèrent, dans la Maçonnerie, l’instrument de la déchristianisation de la France » (Louis Dasté), et que l’histoire depuis 1789 a prouvé que celle-ci a toujours été l’ennemi le plus acharné de la chrétienté et du Vatican.


Ainsi donc, il y a des questions à se poser sur la nature même de la théologie et de l’enseignement du pape François quand la Grande Loge Maçonnique d’Espagne déclare dans un communiqué être en pleine harmonie avec ce qu’a écrit le pape François dans l’encyclique Fratelli tutti d’octobre 2020.


Bien sûr, ces positions et ces évolutions s’inscrivent dans un vaste mouvement d’idées et de réformes initiées par le concile Vatican II, mais jusqu’au pape François -que je considère comme l’Antéchrist, pour mémoire- il subsistait encore un peu de catholicité et de morale dans l’Eglise dite conciliaire.
Ceci est désormais caduque, Rome professe la religion de l’humanité, nouvelle religion universelle dans laquelle Jésus-Christ n’est qu’un Dieu parmi les autres, et encore…

Bergoglio (le pape François) est sans chiffre parce qu’il est unique, il est à la fois le dernier et le premier. Le dernier pape de l’ex-catholicisme et le premier chef de la nouvelle religion de l’humanité. Il est chargé d’accomplir la dernière mutation de l’Eglise, on pourrait même dire sa mue ; il ne s’agit pas d’une disparition en tant que telle, mais d’une transformation. Elle n’aura même pas besoin de changer de nom, parce quesa requalification en religion de l’humanité constituera de facto la disparition de l’original.

Cependant il subsiste un problème de taille : la messe.
La messe fait tâche d’encre, elle ne colle pas avec ce discours ni son esprit, ni même l’ambiance. Car la messe, même sous sa forme ordinaire (la messe de Paul VI), même dénaturée, est peut-être le dernier lieu, le dernier office, à vénérer ostensiblement Jésus-Christ comme Dieu, malgré leurs efforts pour le diluer dans l’humanisme ambiant. En tous cas, la messe telle qu’elle existe encore -et je rappelle qu’elle constitue l’office principal des catholiques- n’est pas compatible avec cette nouvelle théologie, qui voit Dieu partout, dans toutes les religions, justement parce qu’elle ne lui donne pas son vrai nom : Jésus-Christ. Sauf à la messe.
C’est une incongruité. Une incompatibilité avec la nouvelle théologie du Vatican. En toute logique, elle aurait déjà dû être réformée, adaptée au goût du jour, assaisonnée d’œcuménisme comme tout le reste, pour qu’elle soit compatible avec leur nouveau Dieu, universel et non Trinitaire.

Mais ce n’est pas si simple.
Il faut rappeler que la messe catholique ou orthodoxe est le seul office religieux qui prétende faire venir Dieu en personne sur l’autel à chaque office. Aucune autre religion n’a une telle prétention, personne n’ose prétendre faire venir Dieu sur place et encore moins physiquement (car c’est bien l’objet du miracle de la Transsubstantiation : l’hostie et le vin dans le calice sont les signes visibles d’une Présence divine réelle, par définition invisible puisque Dieu est un pur esprit. D’où leur changement de substance : la Présence Réelle est physique !)


Personne ne le fait parce que cette idée ne peut pas et ne pouvait pas être humaine : seul Dieu pouvait en avoir l’idée et l’instaurer parmi les hommes. Parce que si Dieu ne se rendait pas présent à ce moment-là, la supercherie serait découverte et la religion en question ferait long feu.

Voilà pourquoi aucune religion, en dehors de nous, ne prend le risque de déclarer faire venir Dieu durant ses célébrations. Si c’était facile à faire, et s’il suffisait de l’affirmer sans preuve, tout le monde le ferait. Or personne ne le fait. Même pas les Protestants, parce que le fondateur des protestants, Luther, savait très bien au fond de lui-même, qu’il était un hérétique coupé de la grâce et du soutien divin. Pour tromper son monde, il a donc institué à la place de la messe une célébration commémorant la Sainte Cène mais sans Consécration ni miracle de la Transsubstantiation.

La messe de Luther n’est qu’une cérémonie où l’on prie Dieu comme dans toutes les autres religions, sans le signe distinctif qui fait le privilège de la seule vraie religion, de la seule agréée par Dieu parce que fondée par Lui, un signe exceptionnel inégalable et inimitable : la Présence Réelle.


Et la garantie de la Présence Réelle est donnée d’une part par l’expérience unique de la vie divine en soi (la véritable spiritualité) et par les innombrables miracles accomplis chez les catholiques seuls. Rappelons que le principe des Ex-voto et de la canonisation n’existe que dans le catholicisme et l’orthodoxie. Aucune religion ne nous imite sur ce plan et pour cause : parce qu’aucune ne peut prétendre aux miracles qui prouvent la présence de Dieu.

Les plaques de remerciements (Ex-voto) témoignent de ces miracles au quotidien et n’existent que dans nos églises, de même pour les saints, une canonisation ne peut être prononcée qu’après constat avéré d’un ou plusieurs miracles liés au saint. Voilà pourquoi les protestants ont abandonné le culte des saints : là aussi, Luther savait très bien que dans sa contrefaçon du christianisme il n’y aurait pas de miracles et donc pas de saints ; pour le masquer, l’astuce a consisté à supprimer le culte des saints.

D’autre part, l’Eucharistie catholique est le principal sacrement qui unit l’homme à Dieu, appliquant à l’homme le mystère de l’union hypostatique effectuée par le divin Maître. Par les sacrements, mais principalement par l’Eucharistie car celui-ci a l’éminente qualité d’être répétitif, Dieu insuffle à l’homme la grâce sanctifiante, et le divinise en s’unissant à la nature humaine, c’est à dire non par le corps mais par l’esprit (c’est le véritable sens du mot spirituel, la vie spirituelle ne peut s’appliquer en réalité qu’aux catholiques en état de grâce et sûrement pas à tout le monde).

C’est dans notre âme que Dieu habite, c’est notre âme que Dieu nourrit par ses sacrements, principalement l’Eucharistie, faisant de ses enfants des temples du Saint-Esprit selon l’expression de saint Paul.
Voilà pourquoi le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde (matériel) mais d’ordre spirituel. C’est par l’âme que Dieu s’unit à l’homme.

Ainsi donc, modifier la messe n’a rien d’anodin.
C’est même un acte crucial car si la Présence Réelle disparaît, alors les caractéristiques divines du catholicisme disparaissent. Au même titre que les autres religions, nous nous réunirions pour prier et honorer Dieu lors de célébrations qui n’ont plus leur spécificité d’origine divine.


Autrement dit, Dieu n’aurait plus SA religion.
Et donc la promesse de Jésus-Christ « Et moi je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde » ne s’appliquerait plus, puisque de toute évidence, il est avec nous via la Présence Réelle et donc via la Sainte Messe. Ce qui veut dire que lorsque cette promesse tombera, nous serons arrivés à la fin du monde.
Voilà pourquoi, même la réforme liturgique de 1969 instituant la nouvelle messe dite de Paul VI, toujours en vigueur, n’a pas osé supprimer la Consécration et le miracle de la Transsubstantiation.

( Suite et SOURCE à ce lien : https://legrandreveil.wordpress.com/2022/07/08/la-reforme-de-la-messe-plan-secret-du-vatican/