INGRATE ROME : «  ROME EFFÉMINÉES, ROME SUPERBE : J’ÉBRANLERAI TES TERRES ET SES HABITANTS, J’APPORTERAI MASSACRE et EXTERMINATION JUSQU’À TES MURAILLES » !

( prophétie de Saint Jean de Bosco qui annonce des temps difficile pour Rome et pour l’Église catholique mais une fin heureuse.)

Le 5 janvier 1870 St Jean de Bosco fit un rêve sur les événements futurs de l’Église et du monde. Il a écrit ce qu’il a vu et entendu et le 12 février 1870 par lettre en avisa sa sainteté le Pape Pie IX. Cette prophétie est à trois volet, un pour Paris, un pour l’Italie et un autre pour la ville de Rome et aussi pour l’Église catholique.

(( Je ne m’occupe ici que des volets touchant l’Italie, Rome et l’Église catholique, le reste est disponible en bas de page, mais c’est seulement en italien.))

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Maintenant, la voix du Ciel vient du Pasteur des pasteurs. Vous êtes en grande conférence avec vos conseillers, mais l’ennemi du bien n’est pas un moment en silence, il étudie et pratique tous les arts de la contradiction. Il sèmera la discorde entre vos conseillers, provoquant l’émergence d’ennemis d’entre mes enfants. Les pouvoirs du siècle vomiront comme un feu cherchant à étouffer ma parole sortant de la bouche des gardiens de ma loi. Cela n’arrivera pas. Ils auront mal agit, ils se feront mal. Vous accélérez le pas, et les difficultés qui ne se résolvent pas, sont retranchés. Si vous vous sentez en situation désespérée ne vous arrêtez pas, mais continuez tant que la tête de l’hydre de l’erreur ne soit tranchée. Ce coup fera trembler la terre et l’enfer, mais le monde sera rassuré et tous les justes exulteront.

Rassembler autour de vous alors que deux conseillers, mais partout où vous allez, continuez et que se termine le travail qui vous a été confié. Les jours se succèdent rapidement, vos années avanceront dans le nombre établi, mais la grande reine sera toujours votre secours, et comme par le passé, ainsi que dans l’avenir, sera toujours dans Ecclesia praesidium magnum et singulare (grande et coutumière défense dans l’Église).

Mais toi, Italie, terre de bénédictions, qui t’a plongé dans la désolation? …

Ne dites pas vos ennemis mais vos amis. Tu n’entends pas tes enfants demandant du pain de la foi et qui ne trouvent personnes pour le rompre?

Que ferai-je?

Je frapperai les bergers, je disperserai le troupeau, afin que ceux qui sont assis sur la chaire de Moïse cherchent de bons pâturages et que le troupeau écoute docilement et se nourrisse.

Mais sur le troupeau et sur les bergers pèse ma main, la famine, la peste, la guerre feront en sorte que les mères se lamenteront du sang de leurs fils et de leurs maris tués en territoires ennemis.

Et tu dis, ô Rome, qui le sera?

Ingrate Rome, Rome efféminées, Rome superbe! Tu es arrivée à un tel point que tu ne cherches rien d’autre, et que tu n’admires rien d’autre dans ton Souverain, si ce n’est le luxe, oubliant que ta gloire et la sienne réside dans le Golgotha. Maintenant il est vieux, épuisé, sans défense, dépouillé ; et pourtant avec sa parole enchaînée il fait trembler le monde entier.

«Rome ! … je te rendrai visite quatre fois ! la première, j’ébranlerai tes terres et ses habitants. La deuxième, j’apporterai massacre et extermination jusqu’à tes murailles. Tu n’ouvres pas encore les yeux ? Alors je viendrai une troisième fois, j’abattrai tes défenses et ses défenseurs et au commandement du Père, le règne de la terreur, de la peur et de la désolation commencera.

Mes sages fuient, ma loi est foulée aux pieds, je viendrai donc une quatrième fois. Malheur à toi si ma loi reste encore un vain mot ! Les abus se succéderont dans les savants et dans les ignorants. Ton sang et le sang de tes fils laveront les outrages que tu as faits contre la volonté divine.»

La guerre, la peste, la faim sont les fléaux qui souffleront sur l’arrogance et la méchanceté des hommes. Où sont-ils, ô riches, vos Palais, vos villas, votre magnificence ? Ils sont devenus détritus des places et des routes!

Mais vous, ô prêtres, pourquoi n’allez-vous pas pleurer entre le vestibule et l’autel, en implorant la suspension des fléaux?

Pourquoi ne pas prendre le bouclier de la foi et n’allez-vous pas sur les toits, dans les maisons, dans les rues, les places, dans chaque lieu aussi inaccessible, pour porter les semences de ma parole?

Ignorez-vous le fait qu’il s’agisse de la terrible épée à deux tranchants qui brise mes ennemis et qui rompt la colère de Dieu et des hommes? Ces choses doivent venir inexorablement une par une.

«Les choses, d’après vous, avancent trop lentement, mais la grande Reine du Ciel s’approche, la puissance du Seigneur est sur elle. Elle dispersera ses ennemis comme de la fumée. Le vénérable vieil homme avec tous ses anciens vêtements lui appartient.
«Il vient encore un violent cyclone. L’iniquité touche à sa fin et cesse, après deux pleines lunes qui ont brillé pendant le mois des fleurs, l’arc-en-ciel de la paix apparaît sur la terre»

Le grand Pasteur verra l’épouse que son roi a revêtu de gloire. Partout dans le monde, le soleil est lumineux et brille comme jamais depuis les flammes de la pentecôte jusqu’à aujourd’hui et comme il ne le sera jamais jusqu’à la fin des temps»