TOUT LE CONTINENT S’OPPOSE AU PAPE, DU JAMAIS VU DANS L’HISTOIRE DE L’EGLISE !

François est sélectif dans ses réponses aux questions et ses réponses sont souvent ambiguës, ce qui conduit à la confusion et à la division, a déclaré l’évêque auxiliaire Rob Mutsaerts, 65 ans, de Herzogenbosch, à InfoVaticana.com (27 février).

Selon l’enseignement de l’Église, une personne qui n’est pas en état de grâce ne peut pas recevoir la Sainte Communion. Mais le document Amoris Laetitia de François contient de nombreuses déclarations dont l’ambiguïté « permet des interprétations contraires à la foi ou à la morale ».

De même, « Fiducia Supplicans ». Mutsaerts affirme qu’un prêtre peut bénir les pécheurs mais pas le péché. Pourtant, FS affirme, contrairement à l’enseignement de l’Église, que les unions homosexuelles [= péché] peuvent être bénies : « Le fait que le cardinal Fernández, en réponse aux critiques, fasse une distinction artificielle entre couple et union n’est pas d’un grand secours.

Pour Mutsaerts, le fait que François utilise l’exemple des prêtres qui bénissent les criminels dans les prisons n’aide pas non plus : « Nous ne bénissons pas les actes criminels. Je peux bénir les voleurs, mais pas leurs activités. Je peux bénir les homosexuels, mais pas leur union ».

Pour Mutsaerts, il est clair qu’avec François, nous assistons à une « rupture avec la tradition ». En conséquence, « en 2000 ans, nous n’avons jamais vu autant de personnes – et même un continent entier – s’opposer à une déclaration romaine ».

Il qualifie le ton de Traditiones Custodes de François de « dur ». Les fidèles du rite romain sont souvent qualifiés de « rigides » ou « avec des termes encore plus extravagants ». Il suffit de demander une messe traditionnelle pour « être jeté ».

Mutsaerts cite l’exemple de l’évêque Strickland, à la voix douce, qui a été démis de ses fonctions par François, alors que les évêques allemands et belges qui prônent constamment le rejet de la doctrine et de la morale de l’Église sont traités avec gentillesse : « Cela caractérise le pontificat actuel ».

Pour Mutsaerts, cela montre ce que le slogan [hypocrite] de François todos, todos, todos signifie : tout le monde sauf les catholiques.

( SOURCE: https://gloria.tv/post/jaQgreu6SwFH3uq1ZHV2Z1ErM