
QUICONQUE VEUT S’ACCROCHER A LA FOI CATHOLIQUE DOIT INÉVITABLEMENT REJETER LE PROGRAMME » SYNODAL » DU PAPE FRANÇOIS QUI CHERCHE A » DÉTRUIRE L’EGLISE «
( Une exhortation du Père JOACHIM HEIMERL )
Un prêtre exhorte les catholiques à rejeter le programme « synodal » du pape François qui cherche à « détruire » l’Église ..
Quiconque veut s’accrocher à la foi de l’Église catholique doit inévitablement rejeter le projet favori du pape, la « synodalité », un programme destiné à « détruire » l’Église à long terme, écrit le père Joachim Heimerl
Le Pape François avec le Cdl. Grech au Synode sur la synodalitéFacebook/Synod.va
Fr.
Joachim
Heimerl
jeu Sep 5, 2024 – 1:03 pm EDT
(LifeSiteNews) – Le Vatican a lancé une enquête en ligne à la fin du mois de juillet. Près de 9 000 participants ont été interrogés sur leur attitude à l’égard de la « synodalité », et environ 90 % d’entre eux ont voté contre. En conséquence, le secrétariat synodal responsable a mis fin prématurément à l’enquête et a mis les résultats hors ligne. Outre le Vatican, on ne trouve probablement des « principes » comparables de sondage d’opinion qu’en Russie et en Chine aujourd’hui.
LIRE : Le compte Synode du Vatican sur X supprime le sondage après le rejet de la « synodalité » par 88
Ce processus resterait une anecdote insignifiante si ce n’était que dans moins d’un mois s’ouvrira la dernière partie de ce que l’on appelle le « Synode mondial », qui traite de la question de savoir comment l’Église catholique peut devenir une « Église synodale ». Dans ce contexte, l’enquête en ligne est exceptionnellement explosive. Mais que dit-elle réellement ?
Un résultat important est que personne dans le monde catholique n’est intéressé par une « église synodale ». Le nombre de participants aux enquêtes internationales est généralement beaucoup plus élevé, surtout lorsqu’il s’agit de sujets aussi polarisants. En d’autres termes, pour la majorité des catholiques, la « synodalité » n’est pas seulement un cheval boiteux, mais un cheval mort.
Le résultat est encore plus important : Personne au Vatican ne se serait attendu à un vote négatif.
Ils comptaient sur une grande approbation et auraient voulu l’instrumentaliser en conséquence lors du « Synode mondial », ce qui nous ramène d’ailleurs à la Russie et à la Chine. C’est d’ailleurs une démarche étonnante quand on sait que les créateurs du synode – le pape et les cardinaux Jean-Claude Hollerich et Mario Grech – soulignent toujours que la « synodalité » ne doit pas être un instrument politique mais spirituel.
Si c’était le cas, on n’aurait guère recours aux moyens d’une enquête. A fortiori, on chercherait à saboter cette enquête et à la balayer sous le tapis après qu’elle n’a pas donné les résultats escomptés.
Pour résumer, l’enquête en ligne a révélé que le projet favori du pape était un gigantesque mensonge. Et elle a mis Francis, Hollerich et Grech dans l’embarras devant les yeux du public mondial.
Non, la « synodalité » n’est pas un processus « spirituel » mais un programme politico-ecclésiastique. De plus, ce programme n’est en aucun cas destiné à « réformer » l’Église, mais à la détruire à long terme. Les participants à l’enquête l’ont reconnu et ont donc clairement dit « non ».
Cependant, la véritable explosion de l’enquête provient d’une déclaration indirecte. Et, fait poignant, elle vise le pape.
Comme on le sait, François a entrelacé son pontificat avec le thème de la « synodalité » ; il n’est donc que trop heureux de souligner que l’Église doit se « convertir » à la « synodalité ».
Il est clair que c’est absurde : l’Église n’a jamais à se convertir aux idées personnelles d’un pape et encore moins à son programme de politique ecclésiale.
Sa seule conversion est la conversion à Jésus-Christ. Mais le « Synode mondial » en est bien loin.
Le « non » de l’enquête en ligne contient donc un « non » plus grand qu’un simple « non » à la « synodalité » ; il contient un « non » à François et donc à un pontificat qui a profondément ébranlé et divisé l’Église.
Les avis sont donc partagés sur l’attitude à adopter face à la « synodalité » : quiconque veut conserver la foi de l’Église catholique doit inévitablement rejeter le projet du pape. Il n’est pas possible de rester catholique et de soutenir en même temps les objectifs « réformateurs » du Pape et du « Synode mondial ».
Je voudrais donc recommander ceci à mes lecteurs : Rejoignez les participants à l’enquête en ligne et dites fermement : « Non, Saint-Père ! ».
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