
L’EX-SYNODE A ABOLI LE CATHOLICISME SANS S’EN APERCEVOIR!
Le tout est plus grand que les parties », dit François, mais d’un trait de plume, il a fait disparaître l' »Église universelle », écrit Luis Badilla dans un commentaire récent.
Sur près de 26 000 mots du texte final de l’ex-synode, le mot « universel » n’apparaît que six fois, et une seule fois en conjonction avec le mot « église ».
Badilla cite le texte final (119), qui fantasme sur une « valorisation des lieux ‘intermédiaires’ entre l’Église locale et l’Église universelle », tels que la province ecclésiastique et les regroupements d’Églises sur une base nationale ou continentale.
Il esquisse une conception de l’Église universelle comme résultat de la somme des instances.
« Lorsque le document regroupe les provinces ecclésiastiques et les groupements, il mélange des choses essentiellement différentes qui n’ont rien à voir avec le concept de l’Église universelle ».
Lors de la conférence de presse de présentation du texte, le 26 octobre, le Père Giacomo Costa, S.I., Secrétaire spécial du Synode, a cherché à mettre en évidence « un aspect de nouveauté » dans le texte.
Selon lui, le texte « ne parle plus de l’Église universelle », mais d’une « communion d’Églises », qui est « une association d’Églises locales ».
Badilla note que le pauvre jésuite n’a pas remarqué « que le mot « catholique » signifie précisément universel ».
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