LE PÈRE GERALD MURRAY ACCUSE LE PAPE FRANÇOIS

Le père Gerald Murray accuse le pape François d’approuver le mode de vie homosexuel

Lors de son passage à l’émission « The World Over » de Raymond Arroyo, le père Gerald Murray a accusé le pape François de « soutenir le mode de vie homosexuel » et de « répandre la propagande des groupes d’intérêt homosexuels » dans son nouveau livre de souvenirs intitulé « Hope ».

(LifeSiteNews) – Le père Gerald Murray a accusé le pape François d' »approuver le mode de vie homosexuel » dans les mémoires du pontife qui viennent d’être publiées.

Au cours de l’Épisode du 16 janvier Dans un article de Raymond Arroyo intitulé « The World Over », le père Murray a estimé qu’au lieu de renouveler l’enseignement de l’Église sur l’homosexualité, le pape « approuve le mode de vie homosexuel en disant que ces personnes doivent être respectées, que l’Église catholique ne doit rien dire qui puisse troubler la paix et la tranquillité des personnes qui ont embrassé le mode de vie homosexuel ».

Présenté comme une quasi-autobiographie, L’espoir ne contient que peu de contenu significatif mais offre à François un espace pour répéter les commentaires qu’il a faits sur les personnes homosexuelles et les fidèles de la Messe traditionnelle.En ce qui concerne les lois contre l’homosexualité, qui sont particulièrement répandues dans les pays africains, François a déclaré que l’homosexualité « est un fait humain » auquel l’Église ne doit pas répondre « sans enthousiasme ».

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Dans la foulée, François a fait une suggestion qui semble supprimer la nécessité de se convertir à la pratique d’un mode de vie homosexuel :

Dieu le Père les aime du même amour inconditionnel, Il les aime tels qu’ils sont, et Il les accompagne de la même manière qu’Il le fait avec nous tous, en étant proche, miséricordieux et tendre.

Mais en commentant les passages du pape, M. Murray s’est interrogé sur l’intention de François lorsqu’il a déclaré que « Dieu aime les homosexuels tels qu’ils sont ».

« Veut-il dire que Dieu aime ceux qui commettent des actes de sodomie ? J’espère que non, car la sodomie est un péché mortel, et le Catéchisme de l’Église catholique enseigne qu’il s’agit d’une abomination », a averti M. Murray. « C’est une chose horrible. Cela ne devrait jamais être fait ».

Le prêtre bien connu – canoniste et prêtre de l’archidiocèse de New York – a également déclaré que le souverain pontife faisait « la propagande des groupes d’intérêt homosexuels ».

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« Ce qu’il qualifie de crime, c’est la sodomie », a déclaré M. Murray en réponse à Raymond Arroyo, de la chaîne EWTN. « La sodomie a été interdite dans toute la chrétienté pendant la plus grande partie de l’histoire. Cela a été supprimé récemment dans la plupart des pays, mais dans les pays africains, ces lois contre la sodomie continuent. » (Un certain nombre de saints et de Pères de l’Église a en effet appelé à des sanctions légales contre la pratique de l’homosexualité).

L’Église catholique enseigne que « les actes homosexuels sont intrinsèquement désordonnés. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une authentique complémentarité affective et sexuelle. Ils ne peuvent en aucun cas être approuvés ».

S’inspirant de ces aspects de la morale catholique, Murray a ajouté que « vous n’avez pas le droit de commettre la sodomie. C’est un acte immoral et socialement destructeur ».

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Nous devons prêcher la vérité du Christ et dire qu’il n’y a ni bonheur ni salut à poursuivre une vie consacrée à commettre des actes de péché mortel. Ce n’est pas ainsi que l’on est censé vivre.

C’est le message de l’Église, et cela a toujours été le cas.

En 1986, sous la direction du cardinal Joseph Ratzinger, le Vatican a publié un document qui donne des instructions aux évêques sur la pastorale des personnes homosexuelles. Le texte recommande aux évêques de s’assurer qu’eux-mêmes, et tout « programme pastoral » dans le diocèse, « déclarent clairement que l’activité homosexuelle est immorale ».

Le texte de Ratzinger soulignait qu’une approche pastorale authentique devait « assister les personnes homosexuelles à tous les niveaux de la vie spirituelle : par les sacrements, et en particulier par l’usage fréquent et sincère du sacrement de réconciliation, par la prière, le témoignage, le conseil et l’attention individuelle ».

Mais il a également noté que toutes les personnes impliquées dans la fourniture de ces soins pastoraux doivent être au clair sur l’enseignement de l’Église, car « s’écarter de l’enseignement de l’Église, ou le passer sous silence, dans un effort pour fournir des soins pastoraux, n’est ni attentionné ni pastoral ». Seul ce qui est vrai peut en fin de compte être pastoral. La négligence de la position de l’Église empêche les hommes et les femmes homosexuels de recevoir les soins dont ils ont besoin et qu’ils méritent.

« C’est pourquoi une attention particulière et pastorale doit être portée à ceux qui souffrent de cette condition, afin qu’ils ne soient pas amenés à croire que vivre cette orientation dans l’activité homosexuelle est une option moralement acceptable. Ce n’est pas le cas.

Une année antérieure 1975 document du Vatican, Persona Humana, se lit comme suit : « Il ne peut y avoir de véritable promotion de la dignité de l’homme que si l’ordre essentiel de sa nature est respecté ».

Grâce à ses audiences régulières et à ses rencontres avec d’éminents défenseurs de la cause LGBT, tels que le père James Martin SJ et New Ways Ministry, le pape François a donné à ces militants l’espoir que l’enseignement de l’Église sur l’homosexualité pourrait être modifié à l’avenir.

S’inspirant de ce courant, d’éminents prélats ont suggéré que la Catéchisme devrait modifier son langage sur l’homosexualité afin d’être plus accueillant et moins « blessant ».

LIRE : Le cardinal Schönborn cite la révision de la peine de mort lorsqu’il est interrogé sur la modification du catéchisme sur les questions LGBTBien qu’il ait stipulé que l’enseignement catholique n’admettait que le mariage entre un homme et une femme, François a défendu les unions civiles pour les « couples » de même sexe, ainsi qu’en autorisant la bénédiction des « couples » de même sexe qui se présentent ensemble pour une telle bénédiction.