MOI «  DIEU » , JE VOUDRAI TANT VOUS VENIR EN AIDE, JE FAIS L’AVEU DE MON AMOUR POUR VOUS !

« Oui, Seigneur, Mon Seigneur et Mon Dieu, je Vous remercie de tout votre Amour, de tout ce que Vous avez fait, faites et ferez encore pour moi, tous les jours de ma vie. Votre Amour me comble et je regrette vraiment de Vous le rendre si mal. Oui, je suis pris, je suis trop souvent accaparé par les mille et un soucis du quotidien et trop souvent je ne pense pas à Vous les offrir, à Vous les confier, alors qu’un tout petit mot de Votre part suffirait à les résoudre. Pardon, Seigneur, pour mon indifférence, pour mes oublis, pour mon indépendance coupable. Seigneur, je sais qu’avec Vous tout est grâce, sans Vous tout est obstruction, tout est superflu. »

Mes Enfants, Je veux vous parler aussi de votre foi. La foi est une vertu théologale qui a Dieu pour objet, elle est aussi un don de Dieu parce que, si Dieu ne vous la donne pas, vous ne l’auriez pas. Il faut prier pour la recevoir, il faut prier pour la conserver, il faut prier pour ne pas la ternir.
Mes Enfants, tel est le grand drame des catholiques d’aujourd’hui, beaucoup n’ont plus la foi de leurs ancêtres, beaucoup ont oublié la foi de leur jeunesse, beaucoup ont une foi adaptée à la vie contemporaine, c.à.d. de leur temps, or J’ai bien dit que « le ciel et la terre passeront, Mes paroles ne passeront pas. » (Mt 24,35). Les modes actuelles sont permissives, les lois actuelles, du moins celles qui concernent la société, sont pernicieuses et immorales. En France, vous avez introduit dans votre Constitution le droit de tuer des petites vies sans défense, des enfants en gestation qui ont la vie devant eux. En les condamnant à mort, vous enfreignez la loi divine qui, depuis la nuit des temps, vous enseigne de ne pas tuer vos semblables.
Et maintenant, en plus de tuer vos enfants, vous décidez d’éliminer vos anciens, vos malades, vos souffrants, tous ceux que vous considérez comme inutiles dans votre société.
Mes Enfants, le démon vous a vraiment mis sous tutelle, vous l’écoutez et vous vous mettez au garde-à-vous devant ses mensonges, ses cruautés, ses attaques permissives et destructrices de la société humaine. Vous admettez que les hommes et les femmes se détruisent et cherchent à être différents de ce qu’ils sont, vous admettez qu’ils se mettent en couple indépendamment de ce qu’ils sont vraiment et vous allez jusqu’à condamner et blâmer ceux qui les voient comme des pécheurs publics.
Levez-vous, Mes Enfants, vous qui désirez Me demeurer fidèles et ne tolérez pas le péché public dans vos maisons. La bonté et la charité ne consistent pas en l’acceptation du péché mais, au contraire, en bannissant le péché de vos maisons. L’amour ou la tendresse à l’égard du pécheur consiste à le préserver du péché, non à l’encourager dans son péché. Mes Enfants, l’Amour de Dieu consiste à respecter Sa Loi, à la faire connaître et à ne pas l’édulcorer.
Satan avait assuré Eve que Dieu se trompait, qu’Il voulait garder pour Lui la science du bien et du mal, qu’elle avait tout à gagner en décidant elle-même de ce qui était bien ou mal. Elle décida et, ce faisant, elle se trompa. Elle se trompa si lourdement qu’elle perdit, avec Adam, les grâces exceptionnelles que Dieu leur avait accordées gracieusement car le bien ne peut cohabiter avec le mal.
Voulez-vous être en état de grâces ? Détournez-vous du péché ! Voulez-vous pécher ? Vous ne serez pas en état de grâces. L’homme ne peut décider du bien et du mal mais s’il le fait, comme l’a fait la France en inscrivant dans sa Constitution le droit à la tuerie des enfants en gestation, il attire sur lui les foudres de Satan. Continue-t-elle dans cette voie en adoptant la loi de tuer les avancés en âge, les handicapés et les souffrants ? Satan étendra ses ténèbres sur ce pays jadis aimé de Dieu et de Sa Mère Marie, et il attirera sur elle de grands désordres, de grandes punitions et de grands malaises.
Priez, Mes Enfants, vous qui restez encore attachés à la Loi divine, priez parce que vos pleurs toucheront le cœur de Dieu s’ils parviennent jusqu’à Lui. La somme de vos prières doit être plus grande que la somme des péchés car bien que Dieu ne soit pas comptable, Il respecte néanmoins les rapports de force. Et Moi, Dieu, Je voudrais tant vous venir en aide !
J’ai besoin de vous comme vous avez besoin de Moi, ne M’abandonnez pas ! Que Dieu vous bénisse et Moi, votre Seigneur, Je vous aime. Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit †. Ainsi soit-il.
Votre Seigneur et votre Dieu

( SOURCE : https://srbeghe.blog/wp-content/uploads/2025/06/2025.06.01-moi-dieu-je-voudrais-tant-vous-venir-en-aide-.pdf