
SOYEZ VOUS AUSSI DES ÉVANGÉLISATEURS !
( Lettre de Notre Seigneur Jésus Via Soeur Beghe : Soyez vous aussi des évangélisateurs 15 Juillet 2025)
Soyez vous aussi des évangélisateurS
Mes Enfants chéris,
M’aimez-vous comme Je vous aime ? Avez-vous réfléchi à l’intensité de Mon Amour pour vous et à l’intensité du vôtre pour Moi ? Vous aimez vos proches, ceux que vous connaissez et si vous ne M’aimez pas plus qu’eux, c’est parce que vous ne Me connaissez pas suffisamment.
Beaucoup d’entre vous Me connaissez par les évangiles, par les prières qui expriment la ferveur du chrétien qui M’est attaché, qui M’est dévoué ; vous M’êtes dévoués, certes, mais Je vous voudrais enflammés ! Moi-même, sur la terre, J’étais enflammé de l’Amour divin, cette douce flamme ardente mais si compatissante, si attirante, si enveloppante. J’étais aimé de Mes disciples, de ceux qui Me suivaient, des personnes qui Me découvraient au hasard de Mes chemins à travers le pays.
La Samaritaine se convertit après une seule conversation, elle qui étonna les apôtres Me voyant en conversation intime avec une femme. Je parlais à son âme et à son intelligence et elle reconnut le langage de la vérité. Elle en fut bouleversée et il en fut de même pour tant de futurs disciples qui se joignirent à Mon armée en formation. Ils Me donnèrent leur foi et Je leur accordais Ma force. Ils se propagèrent à travers le monde pour faire connaître partout Ma doctrine mais surtout Mon Amour, car une doctrine sèche et sans cœur ne peut conquérir le monde.
Ma doctrine était tellement accaparante parce que juste, claire et aimante, qu’elle eut raison de toutes celles qui l’ont précédée mais elle attira aussi sur elle une profonde jalousie parce qu’aucun homme ne pouvait se l’accaparer. Alors, comme on ne pouvait la combattre victorieusement, les hommes envieux combattirent ses adeptes, Mes disciples, les traitant cruellement et jusqu’à la mort.
Oui, Satan est un maître cruel, il ne supporte pas les vertus morales ni ceux qui les exercent, et l’essor du catholicisme se fit dans le sang, le don de soi et l’abnégation. Par Ma Passion et par Ma Mort sur la Croix, J’avais ouvert le bal et depuis tant de saints et de martyrs ont donné leur vie, leur adhésion et leur ferveur à l’imitation de leur Maître et Seigneur.
Je suis Roi, un Roi compatissant, aimant, encourageant et très présent ; ceux qui ne Me suivent pas n’auront pas de part avec Moi et ce sera pour leur malheur. Ceux qui ne M’aiment pas ne Me connaissent pas et reculent devant l’exigence de la vertu. Il leur semble que le bien proposé leur est un affront, un reproche alors qu’il leur est seulement proposé de déposer les armes, de se rendre à l’évidence de l’Amour. Cet Amour est pour tous, nul n’en est exclu, nul n’en est repoussé. Mon Amour n’est pas de la sensiblerie, il est solide, il est vital et il est éternel ; il est pur, il est exigeant parce que tourné vers autrui, jamais vers soi-même.
Toute Ma vie sur la terre fut tournée vers autrui, Je n’avais rien à Moi, rien pour Moi et Je donnais Mes grâces à profusion. Je guérissais les corps et les âmes et, parcourant le pays, Je ne passais pas inaperçu. Je parlais, J’enseignais, J’attirais à Moi et faisais le bien sans jamais rien garder pour Moi, Me dépensant, toujours d’humeur égale, souvent fatigué, harassé, mais ne repoussant jamais.
Mes Enfants, le Ciel ne se gagne pas sans le vouloir, les athlètes vainqueurs se sont entraînés pour remporter la médaille glorieuse, et vous devez exercer les vertus, toutes les vertus pour parvenir au sommet.
Mes Enfants, Je vous veux à Mon exemple et à Mon imitation. J’ai été fidèle à Mon Père des Cieux, J’ai fait Sa Volonté en tout temps et en tout lieu et Je vous demande de faire de même. Ne soyez pas irrités, ne soyez pas énervés, ne soyez pas en colère, soyez conciliants, soyez fermes mais justes, soyez bons mais non coulants. Je vous veux à Mon image et à Ma ressemblance.
Qu’est-ce qu’être en état de grâce ? C’est être tel que Dieu puisse se reconnaître en vous. Méditez Mes vertus, Mes Paroles, Mes comportements. Pourquoi les pharisiens M’invitaient-ils à leur table ? Parce que J’étais un homme en vue et ils espéraient trouver quelque avantage à Me fréquenter. Jamais Je ne les ai agressés, jamais Je ne les ai pris de haut mais jamais non plus n’ont-ils pu Me dominer ni prendre l’avantage. Je les instruisais comme ils en avaient besoin et certains M’ont suivi tout en ne se faisant pas remarquer ; ultérieurement, ils se firent ouvertement Mes disciples et furent un maillon important de la propagation de l’évangile au premier siècle.
Soyez vous aussi des évangélisateurs en ce siècle d’apostasie, en ce siècle qui tend de plus en plus à l’exclusion des catholiques, à l’exclusion de Ma doctrine, à l’exclusion de Mon culte. Ne cédez pas aux pressions qui se manifesteront de plus en plus contre Moi et Mes disciples. Informez-vous et déjouez leur mainmise sur l’exercice de votre foi. L’étau se resserre, des lois de plus en plus rigoureuses sont votées mais que cela ne vous éloigne pas de Moi, de Ma présence dans le Saint Sacrement de l’Eucharistie, de Mon culte.
J’ai promis de rester avec vous jusqu’à la consommation des siècles, Je ne vous abandonnerai pas, ne M’abandonnez pas !
Que Dieu soit avec vous et Je vous bénis.
Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit †. Ainsi soit-il..
Votre Seigneur et votre Dieu
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