LA SAINTE VIERGE PENDANT LA PASSION, LA CRUCIFIXION et la MORT DU SEIGNEUR SUR LA CROIX !
( Lettre de Jésus à Soeur BEGHE Le 21 juillet 2025 )
La Sainte Vierge pendant la Passion, la Crucifixion et la Mort du Seigneur sur la Croix Mes très chers, Je veux expliquer comment Ma Mère vécut Ma Passion, Ma Crucifixion et Ma Mort.
Ensuite comment elle vécut les jours suivants : Sa peine était immense mais elle savait que J’étais Dieu et que rien ne pouvait se produire en dehors de Ma Volonté.
Elle a beaucoup pleuré parce que ce que Je subissais était très cruel et qu’on ne souhaiterait pas cela à son pire ennemi.
Elle acceptait chaque instant sans révolte, comme Je l’acceptais Moi-même en totale soumission à la Volonté de Mon Père.
Quand Je suis mort et fus descendu de la Croix, Son cœur s’est déchiré.
Oui, il s’est rompu mais elle comprenait le motif de Mes souffrances et de Ma Mort.
Elle savait mais cela n’atténuait pas sa peine.
Et quand elle est rentrée avec Jean ce soir-là, tous deux abattus et sonnés, elle savait que la Résurrection était proche et elle ne cessait de prier, de s’unir à Moi et à Dieu Trinité en attendant le moment connu de gloire et de victoire.
Elle M’était unie intensément et en priant, elle attendait.
Jean ne savait pas, bien qu’il aurait dû se souvenir de Mes paroles, tandis que Ma Mère savait,
elle avait la Foi et en ces instants de profonde consternation, elle tenait la future Eglise sur Ses épaules et en son Cœur.
Mère de l’Eglise, elle l’enfantait et l’Eglise naissait.
Elle l’enfantait après des douleurs intenses mais, ferme dans la Foi, elle ne douta à aucun moment. C’est ainsi que Ma Mère remporta le titre de Mère de la Sainte Eglise et elle le mérite absolument.Elle ouvre ses bras à tous ses enfants, elle les attend tous de même que J’ai dit : « Et Moi, élevé de terre, J’attirerai tous les hommes à Moi. » (Jn 12, 32).
Je savais pourquoi J’endurais cette Passion et Ma Mère le savait aussi.
Nous étions unis dans la souffrance comme nous l’étions depuis Ma naissance, Ma vie n’avait pas de secret pour elle, elle connaissait son Fils bien qu’Il soit Dieu et elle avait pour Dieu le plus grand et le plus profond attachement.
Bien que ce ne soit pas rapporté par les évangiles mais pourtant il ne pouvait en être autrement, Je lui apparus aussitôt après Ma Résurrection, J’étais Vainqueur, Glorieux et très Vivant ; Ma Mère en fut transformée, comme déjà dans les hauteurs du Ciel.
Elle n’en dit mot parce que Dieu dirigeait Son Plan et Sa future Sainte Eglise. La souffrance de Ma Mère pendant Ma Passion et Ma Crucifixion fut une douleur excessive à tel point qu’elle en était intérieurement démolie.
Mais elle se tenait droite et elle se tournait vers Dieu pour s’appuyer sur Lui.
Il la maintenait comme s’Il lui tenait les coudes, sinon elle n’aurait pu se maintenir. Mais sa volonté était de demeurer auprès de son Fils et cette aide invisible lui permit de ne pas s’effondrer.
Elle restait debout, stoïque, regardait son Fils, Le stimulant de son regard éploré mais courageux, et Lui-même trouvait quelque consolation en la voyant ainsi debout auprès de Lui.
Je savais tout ce qu’elle ressentait et nous étions tous deux dans la même souffrance partagée.
Ma souffrance était totale, morale et physique, Ma Mère souffrait de même mais ses plaies étaient intérieures.
Je pris soin d’elle en la confiant à Mon disciple bien-aimé et elle accepta humblement cette ultime prévenance du Fils de Dieu et d’elle-même, Sa Mère.
Par le Saint Sacrifice, elle obtint rétroactivement l’exonération du péché originel, la blancheur immaculée de son Ame et son titre de Mère du Sauveur.
« Je suis l’Immaculée Conception », dit-elle à Lourdes à sa dévouée Bernadette et elle acquit ce titre au pied de la Croix.
Par la Croix, le Seigneur Jésus répara Sa Création, lui redonnant Sa grâce, Son attache divine et toute sa beauté intérieure.
Le démon n’y était plus le seul maître à bord, la Vierge très sainte réparait le péché d’Eve suivi par celui d’Adam, et la créature redevenait agréable à Dieu.
La grâce inondait de nouveau la terre et les hommes ignorants et gâtés par le péché pouvaient de nouveau se tourner vers Dieu le Père, leur Père par la grâce du Fils en union avec l’Esprit Saint.
Je vous attends maintenant, Mes fils, Mes frères, Mes bien-aimés, vous êtes Miens, rachetés et dignes de Moi tant que vous Me suivez et Me désirez.
Je vous bénis, Je vous aime, Je vous attends !
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit †.
Ainsi soit-il.
Votre Sauveur crucifié et votre Dieu
MARANATHA. N. T'ATTENDONS 
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