LA SAINTETÉ DANS LAQUELLE JE VOUS VEUX !

LA SAINTETÉ DANS LAQUELLE JE VOUS VEUX !

( Lettre de JÉSUS à SŒUR BEGHE Le 30 juillet 2025 )

LA SAINTETÉ DANS LAQUELLE JE VOUS VEUX !

Mes très chers Enfants, si chers et si importants pour Moi, Je veux vous aimer comme seul Dieu peut aimer et c’est ainsi que Je vous aime.

Je veux aussi vous faire connaître un peu de Mes réalisations et c’est ainsi que Je vous ai expliqué un très petit aperçu de Ma création, celle que vous ne pouvez ni voir ni connaître.

J’insiste sur le fait que Je n’en ai pas parlé durant Ma vie terrestre car ce n’était pas le sujet du moment.

J’étais venu fonder Mon Eglise et racheter l’humanité.

Cette action de Rachat était vitale et Je Me suis donné à vous par Ma Mort et par Ma Sainte Eucharistie, vous laissant après Moi Ma présence réelle et permanente.

Ma Sainte Eglise fut fondée et sa mission était de proclamer Mon Salut et Mes instructions.

Elle a connu bien des soubresauts, bien des épreuves, bien des attaques, aujourd’hui même elle est dans un état alarmant, mais Je ne l’abandonnerai jamais.

J’ai annoncé qu’elle vivrait un temps d’épreuves très cruelles, posant la question si grave : « Mais le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (Lc 18, )

La foi aujourd’hui se perd, tant d’hommes vivent comme si Dieu n’existait pas ou comme s’Il était insignifiant, ou encore comme s’Il se conformait à leur façon de vivre.

Mais non, Mes très chers, Dieu n’est pas ainsi.

Il est exigeant parce que l’Amour est exigeant, l’Amour donne tout mais il doit être compris et aimé en retour.

C’est le Premier Commandement divin : « Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement. »

Aujourd’hui les nations n’adorent ni n’aiment Dieu, les sociétés n’adorent ni n’aiment Dieu, les

hommes dans leur grand nombre n’adorent ni n’aiment Dieu.

Même Mes prêtres dans une grande majorité n’adorent ni n’aiment Dieu : ils ont supprimé tant de gestes d’adoration dans le culte catholique, ils Me tutoient en langue française alors qu’il existe dans cette langue une expression de respect : le vouvoiement. Il n’y a plus guère de vocations religieuses, leur renouvellement se tarit, les églises se vident ou sont désaffectées, on ne prie plus dans les campagnes.

Mes enfants, est-ce cela le renouveau tant affirmé ou tant espéré depuis la révolution du Concile Vatican II, n’est-ce pas plutôt la perte de l’esprit religieux qui régnait dans les villes et les campagnes des siècles passés !

Reprenez-vous, Mes enfants, reprenez-vous !

Remplissez de nouveau Mes églises, elles sont Ma demeure parmi vous et vous Me délaissez.

Je vous aime pourtant, Je vous le prouve par tant d’attentions quotidiennes mais vous vivez comme si vous étiez vous-mêmes la source de vos vies.

Je suis cette source de vie et Je vous aime d’un Amour inextinguible.

Oui, Je suis venu pour vous sauver de l’Enfer en donnant Ma vie pour vous sur la Croix et puis en vous donnant Ma Vie, Ma Force et Ma Grandeur dans le sacrement de l’Eucharistie.

Recevez ce don avec une grande reconnaissance et une grande piété, c’est la Vie divine que vous recevez en vous et vous Lui devez tous le plus profond respect.

Je vous ai parlé du monde invisible, des âmes, des Anges et Je veux aussi vous parler de vous.

Vous êtes de la race humaine, de la race d’Adam, créé avec Eve pour Me donner une famille, des frères, des enfants et pour que nous soyons éternellement unis et rayonnants dans le Ciel.

Par la Sainte Eucharistie – à recevoir dans une âme pure -, Je vous donne Ma Vie que le démon ne peut ni toucher ni corrompre, et Je vous rends ainsi en quelque sorte l’état dans lequel J’avais créé vos premiers parents.

Soyez-y fidèles, ce sacrement est un Trésor inégalé mais vous le recevez tant de fois avec légèreté, comme une routine, Me prenant dans vos mains alors qu’elles sont souillées,

elles n’ont pas reçu l’onction sacerdotale pour Me toucher, et vous êtes peu nombreux à Me recevoir humblement, respectueusement et à genoux.

Mes enfants, vous êtes Miens et Je voudrais tant que vous vous comportiez comme tels.

Soyez assidus à la prière, à la régularité de vie que donne la pratique religieuse dans un esprit résolument chrétien et puis respectez le dimanche qui M’est un jour consacré.

Ce jour M’est nécessaire, il vous est nécessaire aussi pour vous maintenir dans le droit chemin, dans la voie de Mes Commandements, dans la voie de la sainteté parce que tous, vous êtes appelés à la sainteté.

Le Ciel est le lieu de Mes saints, nul n’y entre s’il n’est saint.

La sainteté est un état qui ne s’acquiert pas sans renoncement au monde, sans renoncement à vos aises, sans renoncement à vos plaisirs superflus.

La sainteté dans laquelle Je vous veux est infiniment plus désirable que tout autre état parce

qu’elle est l’état dans lequel J’ai créé vos premiers parents pour qu’ils vous la transmettent à leur tour.

La sainteté est faite d’Amour pour Dieu et quand on aime, on se donne.

Donnez-vous à Moi, ne renâclez pas, soyez généreux, aimez votre prochain et ainsi vous M’aimerez.

Votre avenir, dans la mesure de votre sainteté, M’est destiné et de même que vous Me recevez dans la Sainte Eucharistie, ainsi Je vous recevrai en Mon Ciel, en Mon Amour, pour une éternité de Bonheur, de Grandeur et de Luminosité.

Vous serez aimés de vos semblables et de Dieu, la générosité sera constante, la bonté, l’estime et la gratuité seront des qualités prédominantes et permanentes.

Mais l’absence de ces vertus seront l’environnement sombre, malveillant et éternel de tous ceux qui M’auront refusé, tourné le dos, persécuté.

La création visible et invisible est toute tendue vers le Ciel, but et finalité de toute créature, de

toute vie.

Ne passez pas à côté, ne vous déroutez pas, soyez consciencieux dans le long chemin de

votre apprentissage de la vertu, de la connaissance de Dieu et de Jésus-Christ, votre modèle.

Je reviendrai vers vous pour vous lever encore le voile de la connaissance mais, comme à des

étudiants studieux, elle se dévoile petit à petit.

Priez le Saint Esprit pour obtenir Ses sept dons, parmi lesquels se trouvent l’Intelligence des choses de Dieu et la Sagesse, mère de toutes les vertus.

Je vous aime et vous bénis : au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit †.

Ainsi soit-il.

Votre Sauveur et votre Dieu