J’AI VU JÉSUS FACE A FACE  «  TÉMOIGNAGE D’UN PRÊTRE » ( Le Père John Iacono) 

 «  TÉMOIGNAGE D’UN PRÊTRE ( Le Père John Iacono) J’AI VU JÉSUS FACE A FACE « 

( Vidéo plus bas , celle-ci nous dit 🙂

Un prêtre témoigne : j’ai vu Jésus face à face

Durant 40 jours d’hospitalisation, il a partagé l’agonie du Christ au Jardin de Gethsémani. Jésus lui confia, en larmes :

« Tout le monde m’a abandonné. Il n’y a personne…» :

« J’ai vu Jésus face à face. Lorsque j’étais à l’hôpital Saint-Vincent, pendant 40 jours et 40 nuits, j’ai passé les deux premières semaines au Jardin de Gethsémani avec Jésus, là où Il fut trahi par Judas.

C’est le seul moment dans la Bible où Jésus demande une faveur à Ses apôtres : « Veillez et priez avec moi une heure. »

Mais Il revient… et ils dorment.

Pendant ces deux semaines, j’étais là, avec Lui, dans l’agonie. Un vendredi, je L’ai vu très triste, priant pour Sa Passion. Je Lui ai demandé :

« Jésus, sommes-nous seuls ici ? »

Et Il m’a répondu en pleurant :

« Oui. Tout le monde m’a abandonné. Il n’y a personne. »

Alors je Lui ai dit :

« Seigneur, donne-moi plus de douleur. Donne-moi plus de souffrance. »

Et après deux semaines, Il me révéla :

« Grâce à ta souffrance, cinq millions d’âmes seront libérées du purgatoire. »

Puis j’ai passé deux semaines dans le désert, avec Jésus. Et à la fin, un million d’agneaux vinrent lécher mes mains.

Je Lui ai demandé :

« Que signifie cela, Jésus ? »

Il répondit :

« Ce sont des vivants. Et grâce à ta douleur, ils sont revenus à la foi. »

La puissance de la souffrance.

Quand nous sommes malades, nous désespérons. Nous perdons espoir. Nous abandonnons. Mais c’est alors que nous sommes les plus puissants.

Ne sous-estimez jamais le pouvoir de la souffrance.

Ne sous-estimez jamais le pouvoir de la souffrance.« 

* Le Père John Iacono, prêtre missionnaire discret et fervent, fut un jour conduit, par la divine Providence, jusqu’au confessionnal de Padre Pio. Là, une parole prophétique lui fut confiée : son chemin serait rude… mais béni. Et il le fut.

Des années plus tard, cloué sur un lit d’hôpital pendant 40 jours et 40 nuits, il fut mystiquement uni au Christ souffrant, dans le Jardin des Oliviers, puis au désert. Ce qu’il y vécut dépasse les mots, mais révèle cette vérité profonde : la souffrance offerte peut sauver des âmes.

Dans l’anonymat d’une chambre d’hôpital, ce prêtre a pleuré, intercédé, et offert sa douleur pour le salut du monde. Et le Seigneur lui montra : cinq millions d’âmes délivrées, un million de cœurs ramenés à la foi.

Ce témoignage bouleversant nous rappelle que la Croix n’est jamais vaine, et que le vrai pouvoir ne réside pas dans la force du monde, mais dans la puissance cachée de la faiblesse aimante