FILLE BIEN-AIMÉE, ÉCRIS AU PEUPLE DE DIEU . PRENEZ GARDE Ô HOMMES, MA MISÉRICORDE TOUCHE A SA FIN. AYEZ PITIÉ DE VOUS MÊME Ô HOMMES !

( Message donné à CARBONIA : 05.12.2025)

Je vais faire tonner ma justice ! Prenez garde, ô hommes, ma miséricorde touche à sa fin.

Ma fille bien-aimée, Marie : LA Très Sainte Vierge, te parle au nom de la Très Sainte Trinité.

Fille bien-aimée, écris au peuple de Dieu : Enfants bien-aimés, vous avez été appelés à la conversion bien trop souvent, mais votre réponse a été de vous moquer de ces appels.

Cette humanité est devenue sourde à la voix du Ciel, mais elle exige des miracles !

Mes chers enfants, vous déshonorez les lois de Dieu, vous vous souillez de boue, vous êtes devenus malodorants à cause du péché qui persiste en vous.

Vous avez trahi votre Créateur, vous avez crucifié Celui qui pouvait vous sauver, vous avez escroqué son Église, profané ses autels, vous êtes tombés dans la misère de Satan, vous avez choisi de lui rendre honneur et gloire, au lieu de Jésus.

Enfants, l’heure de la fin est venue. 

Je vous appelle une fois encore, dans ma miséricorde, à la conversion. 

N’attendez pas ; que cet appel soit un moyen de salut pour vous.

La terre tremble, les volcans entrent en éruption à l’unisson, les mers se déchaînent, les montagnes s’effondrent, les incendies font rage partout, la guerre avance, et pourtant vous restez indifférents : 

Pauvres hommes, Satan vous a volé votre bon sens, vous êtes devenus des morts-vivants.

Je ne pourrai pas vous aider lorsque la grande catastrophe vous frappera, car vous ne m’avez pas choisi, mais mon ennemi ; vous avez choisi de le suivre et non moi

Je respecterai votre libre arbitre. Je vais faire tonner ma justice ! 

Prenez garde, ô hommes, ma miséricorde touche à sa fin.

Convertissez-vous maintenant, il n’y a plus de temps pour les choses du monde, le Ciel est à l’œuvre, les Anges de Dieu sont prédestinés, la file est formée, tout est prêt, au cri de Dieu le Père, tout s’arrêtera dans les airs et sur la Terre.

Ayez pitié de vous-mêmes, ô hommes ! 

Votre orgueil vous vaudra de lourdes souffrances. 

Repentez-vous !