
VIVEZ DANS L’ESPÉRANCE DE LA BIEN HEUREUSE ÉTERNITÉ !
Lettre de Notre Seigneur Jésus Via Sœur BEGHE : Vivez dans l’espérance de la bienheureuse Eternité – 4 Décembre 2025
Vivez dans l’espérance de la bienheureuse Éternité
Mes très chers Enfants,
Je vous donne de belles paroles et Je suis votre Dieu, le Dieu unique et Maître du monde. Mon Amour pour les hommes est immense et Je veux vous expliquer comment et pourquoi, sur terre, Je priais Mon Père, Dieu le Père, et c’est à Lui que Je Me référais auprès de Mes apôtres.
Dieu, le Pur Esprit, était en Moi et Il était Moi et, par conséquent, Je Le priais de la même manière que vous priez votre Ange gardien. Je Le priais pour régler Mes pas, Me conduire là où Je devais être, inspirer Mes paroles, Mes actes et tout Moi-même, et c’est ainsi que vous devriez prier votre Ange gardien : qu’il se tienne au-devant de vous et vous inspire en tout moment. Je priais aussi Mon Père des Cieux, Lui qui M’avait engendré, parce qu’en tant qu’homme Je lui étais soumis, Il était Mon vrai Père de même que Ma Mère était Marie : Je lui étais soumis aussi comme tout fils devrait l’être envers sa propre mère.
Mon Père, Je n’en avais qu’un seul, était le Père de Mon humanité, Mon Père éternel parce qu’Il est Dieu le Père, et que de tout temps Je suis son Fils, sans postériorité ni commencement. Je priais aussi Dieu le Saint Esprit, parce qu’Il est la Vie et qu’Il avait présidé à Ma venue sur la terre en Me faisant prendre la nature humaine. Mon Humanité était le vœu de Dieu Mon Père, de Moi-même et du Saint Esprit, chacun y ayant contribué selon Son État divin. J’étais en communion constante avec le Saint Esprit qui Me communiquait Son Amour, Sa Vie et Sa Sainteté et Je puisais en Lui Ses trésors de vertus. Je priais Dieu, Mon Pur Esprit, pour qu’Il développe en Mon Humanité tous Ses bienfaits, toutes Ses vertus, et que Je sois de plus en plus et complètement enseveli en Lui. Il était Mon Dieu, J’étais Lui mais J’étais homme sur la terre par Mon Corps et par Mon Âme, et Je puisais en Lui tout ce qu’Il était. J’étais homme et Dieu parce que J’étais tellement englouti en Lui, Mon divin Esprit, que tout se faisait en Lui, avec Lui et pour Lui, avec le Père et le Saint Esprit qui M’étaient tellement unis parce que, eux aussi, n’avaient qu’une seule volonté, qu’un seul désir, qu’un seul Amour parfait.
Cette Trinité divine est si intense que nous ne pouvions avoir qu’une seule et même Volonté, qu’un seul et même Amour, si puissant que notre si grande Puissance nous liait pour créer, pour aimer et pour réparer. Sur la terre, J’étais Dieu et Mon Humanité parvenue à sa complète réalisation par Ma Résurrection, ne pouvait se comprendre des hommes, limités à leur propre entendement.
Je Me suis montré à eux tel que Je suis vraiment, Homme ressuscité, car tel est Mon état permanent, celui qui était, qui est et qui sera, car dans l’Éternité, il n’y a ni avant ni après. Le temps n’existe pas au Ciel, mais toutes les vertus s’y pratiquent. Toutes les vertus praticables sur la terre se pratiquent au Ciel, c’est pourquoi il est nécessaire de s’y exercer sur la terre. Rien n’est statique dans l’Éternité, tout y est agissant, tout y est aimant, tout y est juste, tout y est fort, rien n’y est faible ou timide, la prudence y est permanente, rien ne se fait dans la hâte ou sans réflexion, tout y est précis, rien n’est exagéré et tout ce qui est beau l’est infiniment. Il n’y a aucun excès mais il y a un concert de beauté, de délicatesse, de sublimité qui fait la jubilation délicate et profonde de Dieu et de Ses Saints.
Tel est le Ciel et bien plus encore car il est impossible sur la terre d’imaginer le Ciel. Vous n’y êtes pas encore mais quand vous y serez, vous serez au septième Ciel ! Aimez votre Ange gardien, soyez-lui bien unis pour l’être plus encore dans les hauteurs des Cieux, lui qui vous montre le chemin et qui vous guide dans votre brouillard terrestre.
Je vous attends, Je vous ai créés pour le Ciel, Je connais toutes vos lacunes mais viendra le temps de cette Éternité bienheureuse qui ne vous quittera plus. Vivez dans cette espérance, exercez-vous-y déjà sur la terre en méditant les vertus, en les aimant et en les pratiquant. Tout exercice est nécessaire à qui veut faire un exploit, faites ces exercices et vous serez prêts pour quitter la terre à l’Heure de Dieu. Vous entrerez alors en ce torrent de bonheur, de douce lumière éclatante et de paix bienheureuse.
Je suis votre Dieu, Je vous ai montré l’exemple de la perfection sur la terre. Ma Mère aussi, et pourtant nous étions bien différents ; vous-mêmes êtes tous différents les uns des autres. Soyez des vainqueurs de sainteté, des vainqueurs de bonté, des vainqueurs de courage et de persévérance. Soyez Miens !
Je vous bénis au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit †. Ainsi soit-il.
Votre Seigneur et votre Dieu
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