
L’ÉGLISE SERA PLEINE DE CEUX QUI ACCEPTERONT DES COMPROMISSIONS ET LE DÉMON PRESSERA DE NOMBREUX PRÊTRES ( Des âmes consacrés) A QUITTER LE SERVICE DU SEIGNEUR.. L’ÉGLISE ET LES AUTELS SERONT SACCAGÉES, LE DÉMON FAIT RAGE CONTRE LES ÂMES CONSACRÉS A DIEU !
Le 13 octobre 1973, après l’oraison dans la chapelle, la Vierge Marie serait apparue à sœur Agnès et lui aurait dit : « Ne crains pas. Ne prie pas seulement à cause de tes péchés, mais en réparation de ceux de tous les hommes. Le monde actuel blesse le Très Saint Cœur de Notre-Seigneur par ses ingratitudes et ses injures. La blessure de Marie est beaucoup plus profonde que la tienne. Maintenant, allons ensemble à la chapelle
Agnès Sasagawa Katsuko est née en 1931 dans une famille traditionnelle japonaise. À 19 ans, elle se retrouva paralysée à cause d’une opération ratée de l’appendicite. C’est au contact d’une infirmière qu’elle découvre le catholicisme et demande à recevoir le baptême. En 1956, son état s’aggrave et elle tombe dans le coma. Des religieuses envoient alors de l’eau de Lourdes, et lorsqu’on lui en fait avaler quelques gouttes, elle reprend connaissance et sa paralysie disparaît progressivement. Dès lors, elle devient catéchiste dans sa paroisse. Malgré sa surdité presque complète depuis ses problèmes de santé, elle intègre en 1969 l’institut séculier des Servantes de l’Eucharistie au couvent d’Akita.
Apparitions
Première apparition
Le 12 juin 1973, et pendant deux jours consécutifs, sœur Agnès voit une grande lumière émaner du tabernacle de la chapelle du couvent, et en fit part à sa mère supérieure. Le 28 juin 1973, alors que sœur Agnès est en prière, une petite plaie en forme de croix serait apparue sur sa main gauche, lui procurant une grande douleur. Elle ne disparaîtra qu’en septembre 1973. Dans la nuit du 5 au 6 juillet, la douleur est insupportable et sœur Agnès prie Dieu de lui venir en aide. Vers 3 heures du matin, elle aurait alors entendu son ange gardien lui dire:
« Ne crains pas. Ne prie pas seulement à cause de tes péchés, mais en réparation de ceux de tous les hommes. Le monde actuel blesse le Très Saint Cœur de Notre-Seigneur par ses ingratitudes et ses injures. La blessure de Marie est beaucoup plus profonde que la tienne. Maintenant, allons ensemble à la chapelle »
Sœur Agnès pria ensuite devant la statue représentant la Dame de Tous les Peuples, telle qu’elle serait apparue à Amsterdam dans les années 1950. C’est alors que la statue aurait dégagé une grande lumière, serait devenue comme vivante et elle entendit, malgré sa surdité :
« Ma fille, ma novice, tu m’as bien obéi en abandonnant tout pour me suivre. L’infirmité de tes oreilles est-elle pénible? Elles guériront, sois en sûre. Sois patiente. C’est la dernière épreuve. La blessure de ta main te fait-elle mal ? Prie en réparation des péchés de l’humanité. Toutes les filles qui sont ici, et chacune en particulier, sont pour moi aussi précieuses que la prunelle de mes yeux. Dis-tu bien la prière des Servantes de l’Eucharistie ? Allons, prions ensemble. – (Après avoir prié, la voix reprit) – Prie beaucoup pour le pape, les évêques et les prêtres. Continue de prier beaucoup, beaucoup. Transmets à ton supérieur ce qui s’est passé aujourd’hui et obéis-lui dans tout ce qu’il te dira. »
Sœur Agnès resta dans la chapelle et pria sans s’apercevoir que les heures tournaient. À 5 heures du matin, le reste des sœurs arrivent dans la chapelle pour l’office des matines. Toutes purent constater que la main gauche de la statue de la Vierge suintait du sang5. Mgr John Shojiro Itô, évêque de Niigata, fondateur des Servantes de l’Eucharistie et directeur spirituel de sœur Agnès, appela les religieuses à la prudence. Il convoqua sœur Agnès qui lui expliqua tout en détail, et la suivra tout au long des évènements.
Message de l’ange
Depuis le 28 juin 1973, la plaie de sœur Agnès à sa main gauche la faisait grandement souffrir, l’empêchant parfois même de dormir. Le 12 juillet 1973, les sœurs constatèrent que la main gauche de la statue suintait de nouveau du sang, et le phénomène se répéta jusqu’au 27 juillet, devant même la mère supérieure et Mgr Itô. Le 27 juillet, après avoir assisté à la messe, sœur Agnès aurait entendu la voix de l’ange lui dire :
« Tes souffrances prennent fin aujourd’hui. Grave soigneusement au fond de ton cœur la pensée du sang de Marie. Le sang versé par Marie a une profonde signification. Ce sang précieux a été versé pour demander votre conversion, pour demander la paix, en réparation des ingratitudes et des outrages envers le Seigneur. Comme la dévotion au Sacré-Cœur, appliquez-vous à la dévotion au Précieux Sang. Priez en réparation pour tous les hommes. Dis à ton supérieur que le sang est versé aujourd’hui pour la dernière fois. Ta douleur prend fin aujourd’hui. Rapporte-lui ce qui s’est passé aujourd’hui. Il comprendra tout, tout de suite. Et toi, observe ses directives »
L’écoulement continu de sang de sa main disparut en effet ce jour là, bien que la plaie restât visible encore deux mois8.
Seconde apparition
Le 3 août 1973, à 15 heures, alors que sœur Agnès méditait dans la chapelle du couvent, la statue de la Vierge redevint brillante et comme vivante, se fit de nouveau entendre :
« Ma fille, ma novice, aimes-tu le Seigneur ? Si tu l’aimes, écoute ce que j’ai à te dire, car c’est très important. Tu en informeras ton supérieur. En ce monde, beaucoup d’hommes affligent le Seigneur. Je désire des âmes pour le consoler. Pour apaiser le courroux du Père céleste, j’attends, avec mon Fils, des âmes qui expient par leurs souffrances et leur esprit de renoncement à la place des pécheurs et des ingrats. Le Père s’apprête à laisser tomber un châtiment sur toute l’humanité pour faire connaître sa colère contre ce monde. Avec mon Fils, je suis intervenue tant de fois pour apaiser le courroux du Père. J’ai empêché la venue de calamités en lui offrant, avec toutes les âmes-victimes qui le consolent, les souffrances endurées par le Fils sur la croix, son sang et son âme très aimante. Prière, pénitence, renoncements et sacrifices courageux peuvent apaiser la colère du Père. Je le demande aussi à ta Communauté. Qu’elle demeure dans la pauvreté, qu’elle se sanctifie et prie en réparation des ingratitudes et des outrages de tant d’hommes. »
Troisième apparition
Le 13 octobre 1973, après l’oraison dans la chapelle, la Vierge Marie serait apparue à sœur Agnès et lui aurait dit :
« Comme Je vous l’ai dit, si les hommes ne se repentent pas et ne s’amendent pas par eux-mêmes, le Père infligera un châtiment terrible à toute l’humanité. Ce sera un châtiment plus grand que le déluge, comme on n’aura jamais vu avant. Un feu tombera du ciel et va faire disparaître une grande partie de l’humanité, les bons comme les mauvais, n’épargnant ni les prêtres ni les fidèles. Les survivants se trouveront si désolés qu’ils envieront les morts. Les seules armes qui vous resteront, seront le rosaire et le signe laissé par mon Fils.
Chaque jour, récitez les prières du rosaire. Avec le rosaire, priez pour le pape, les évêques et les prêtres. Le travail du diable s’infiltrera même dans l’Église de manière que l’on verra des cardinaux s’opposer à des cardinaux, et des évêques contre d’autres évêques.
Les prêtres qui me vénèrent, seront méprisés et combattus par leurs confrères. L’Église et les autels seront saccagés. L’Église sera pleine de ceux qui acceptent des compromissions et le démon pressera de nombreux prêtres et des âmes consacrées à quitter le service du Seigneur. Le démon va faire rage en particulier contre les âmes consacrées à Dieu.
La pensée de la perte de tant d’âmes est la cause de ma tristesse. Si les péchés augmentent en nombre et en gravité, il ne sera plus question de pardon pour eux. Parle avec courage à ton supérieur, il saura encourager chacune d’entre vous à prier et à accomplir des œuvres de réparation.»
Première apparition
Le 12 juin 1973, et pendant deux jours consécutifs, sœur Agnès voit une grande lumière émaner du tabernacle de la chapelle du couvent, et en fit part à sa mère supérieure.
Le 28 juin 1973, alors que sœur Agnès est en prière, une petite plaie en forme de croix serait apparue sur sa main gauche, lui procurant une grande douleur. Elle ne disparaîtra qu’en septembre 1973. Dans la nuit du 5 au 6 juillet, la douleur est insupportable et sœur Agnès prie Dieu de lui venir en aide. Vers 3 heures du matin, elle aurait alors entendu son ange gardien lui dire:
UN DERNIER MESSAGE DONNE A SŒUR AGNES NOUS DIT : « J’AI SENTI QUE CE TEMPS ETAIT PROCHE » !
( Pour prendre connaissance de tous les messages donnés , voir à ce lien : https://touteslespropheties.wordpress.com/2020/06/29/soeur-agnes-sasagawa/